Drôle de lecture et de rencontre [ Hanako ] | Terminé |

La sonnerie se mit à retentir. C'était la fin de la journée. Pendant que tout les élèves quittaient tranquillement la classe en parlant et rigolant, Atsumi était toujours affalé sur sa table. Il était crevé. Il n'avait envie de qu'une seule chose. Rentrer chez lui pour se jeter sur son lit, musique dans les oreilles. Il observa quelques temps les étudiants qui partaient et décida de prendre enfin exemple sur eux. Il s'étira longuement suivis de près par un baillement. Et c'est d'un pas lent sans motivation qu'il se dirigea vers la sortie de TokyoGakuen.

Une fois dehors, Atsumi souffla. Il ne savait pas si c'était parce que Noël qui arrivait à grand pas, mais il se sentait de plus en plus fatigué. Et les cours, devenant sérieusement ennuyeux ne l'aidaient pas non plus. Pendant qu'il marchait les mains dans les poches, son portable se mit à sonner.

- Atsumi ! Tu n'es pas encore rentré ?
- Non, mais je vais bientôt arriver. Pourquoi ?
- Oh ! Ca ne te dérangerais pas de passer à la librairie ? Je voudrais que tu ailles me prendre un livre que j'ai commandé.
- Euh, bah oui...
- C'est vrai ? Merci beaucoup mon chéri ! A tout à l'heure !
- Oui... A tout à l'heure maman...

Atsumi raccrocha puis souffla une nouvelle fois, mais beaucoup plus fort. Dire qu'il voulait rentrer et être tranquille chez lui pour se reposer, sa mère lui demandait d'aller lui prendre un livre. Atsumi y alla vraiment à contre-coeur. Il savait que ça ne lui prendrait pas plus de 20 minutes. Mais il était tellement feignant... Et puis, 20 minutes... C'est long ! Pour lui, se vautrer tranquillement dans son lit avec de la bonne musique était sacré. C'était la chose qu'il aimait le plus faire une fois dans sa résidence. Et la demande de sa mère l'énervait un peu.

Il marcha donc rapidement vers la librairie pour être vite débarassé et retourner s'enfermer dans sa chambre. Il pria intérieurement pour que le libraire ai reçu la commande de sa mère. Il n'atais pas d'humeur à recevoir un refus. Ce genre de situation lui était arrivé trop souvent. En plus, en passant par là, il rallongeait son chemin d'une bonne dizaine de minutes. Une fois devant cette fameuse librairie, il regarda à travers la vitrine. Il n'y avait pas vraiment grand monde. Mais assez à la caisse pour le faire un peu plus patienter. Il rentra donc, d'un air lasse.

C'était une librairie assez réputée. Beaucoup de gens venaient ici. Que ce soit pour la qualité du personnel que de ce que l'on pouvait y trouver. Et oui, même les librairies pouvaient être de qualité. Surtout qu'ici, elle avait plutôt intêret. Elle était située dans un quartier prisé et de classe. Elle ne pouvait pas se permettre de ne pas être à la hauteur de ses clients. Atsumi attendit patiemment que son tour vienne. Puis, une fois arrivé, il s'adressa à une personne du personnel, enfin libre.

- Excusez-moi. Je voudrais savoir si un livre, commandé sous le nom d'Akari-san, est arrivé ?
- Attendez-moi quelques minutes. Je vais aller vous dire ça.

L'homme s'éloigna d'Atsumi pour se diriger vers les registres de commandes. Pendant ce temps, le garçon regarda autours de lui et alla flaner dans les rayons. De loin, il vit une jeune fille, concentrée sur sa lecture. Elle aussi avait dut venir juste après la fin des cours, car elle avait toujours sur elle l'uniforme de TokyoGakuen. Atsumi la croisait certainement assez souvent au lycée, car sa silhouette lui disait vaguement quelque chose. Avec un petit sourire, il s'avança vers elle. La jeune fille était en train de lire un magazine. De nature bien trop curieuse, Atsumi se pencha sans faire de bruit au dessus de l'épaule de cette demoiselle pour voir ce qui occupait autant son esprit. En voyant le magazine en question et surtout l'article qu'elle lisait, Atsumi ne put retenir un petit rire moqueur. Sûrement à cause de son manque de discrétion, la jeune fille se retourna, montrant ainsi son beau visage. Quelle ne fut pas la surprise du garçon quand il vit que ce beau visage n'appartenait pas à n'importe quelle fille de TokyoGakuen, mais à la Missy, Hanako Matsuda. Gêné, il s'excusa.

- Pardon, je ne voulais pas t'espionner... C'est juste que je t'avais prise pour une simple élève de TokyoGakuen...

Atsumi était gêné. Cela ne se voyait pas vraiment sur son visage, mais plutôt au son de sa voix.

La sonnerie des fins des cours retentit enfin. Hanako soupira de soulagement, elle ne voyait plus la fin de cette journée et se demandait même si allait tenir le coup encore plus longtemps. Cette journée avait été lassante, chose que la Missy ne supportait pas, trop courant, trop répétitif, trop monotone. Cette journée était remplit d’adjectif de ce genre.

La demoiselle attrapa ses affaires et s’empressa de les ranger dans son sac. Une fois ses affaires rangés, elle se leva d’un pas pressé et se dirigea dehors. La neige y régnait et Hanako trouva ceci vraiment magnifique. Elle marcha lentement sur la neige encore bien disposé sur le sol et y imprégna ses marques de chaussure lentement et délicatement. La Missy aimait également le craquement des flocons sous ses pieds et cela la fit sourire. Cependant, elle ne sourit plus pendant longtemps. Une horde d’élèves se ruèrent à l’extérieur et ne manqua pas de faire renverser la demoiselle sur la neige faisant tomber son sac au sol et laissant éparpiller ses affaires partout autour d’elle.

« Non mais c’est pas vrai ! Et PARDON ça existe ! »

La demoiselle se releva rapidement. Le froid avait envahi tout son corps et la faisait frissonner sur place. Elle ramassa ses affaires et les rangea pour une seconde fois, lorsqu’elle s’aperçu d’un livre délicatement posé sur la neige comme si il l’attendait. The Marriage of Heaven and Hell de William Blake. La Missy sourit, ceci était le recueil de poème que Yutaro Okamoto lui avait offert lors de leur rencontre. Rencontre assez étrange également.

Elle le ramassa de ses longs doigts et le caressa afin d’y rejeter la neige installer sur la couverture verdâtre du livre. La demoiselle l’examina un instant et se demanda si il serait possible de trouver d’autre recueil du même auteur. Elle saisit son sac encore sur le sol et prit alors la direction de la librairie de Tokyo.

La Missy marchait lentement mais d’un pas assuré tout en regardant encore et encore le cadeau du trésor. Jamais elle n’avait autant pris soin d’un livre que celui-ci et il allait partout où elle désirait aller. Certainement du au fait que ce livre est été en possession du Prince. Personne qui ne laissait pas Hanako indifférente et pour qui ses sentiments grandissaient de jours en jours à présent.

Après quelques minutes de marche sous la neige, la Missy arriva à destination. Elle entra à l’intérieur. La chaleur de la librairie entra en contact avec la peau gelé de la demoiselle. Cette dernière se sentit agréablement bien à cet instant et aimait ressentir ce genre de sensation. Après avoir reprit ses esprits, elle se dirigea vers une vendeuse de la librairie et vint lui demander renseignement.

« Excusez moi… es ce que je pourrais savoir ou je pourrais trouver d’autre livre de William Blake ? »
« William Blake ? »

*elle se fou de moi elle ?!*

« Oui ! William Blake »
« Ah mais oui je vois qui c’est ! Mais ses livres son très rare, de plus il est anglais et la plus part de ses recueils ne sont pas traduit »
« Mais bordel je vous demande pas de me décrire sa vie ! Je vous demande où je peux en trouver ! »
« Aller voir au rayon poème mais il ne me semble pas qu’il y en ait pour le moment sinon je ferais en sorte qu’il y en ait pour la semaine prochaine »
« Si la semaine prochaine il n’y a pas de nouveauté je vous jure vous aurez de mes nouvelles ! »

La vendeuse partit en courant sous les éclairs foudroyant de la Missy. C’est là dessus que la demoiselle se dirigea vers le rayon que la femme lui avait indiqué. Elle chercha dans toutes les étagères. William, William, Blake, William Blake. En vain, elle ne trouva aucun recueil supplémentaire au sien.

*c’est pas vrai ! Dieu c’est vraiment pas ma journée en plus je suis venue ici pour rien alors… *

A cette pensée, le Missy fit la moue. Elle ne voulait pas rentrer immédiatement et ne savait quoi faire. C’est alors qu’elle aperçu un quel conque magasine et le prit en main. Autant s’occuper à quelque chose. Elle s’assit sur le canapé disposé a cet effet et se lança dans une lecture approfondit, bien que se magasine soit fait pour les petites groupies de Groupe Coréen. Mais bon Hanako s’en moquait bien, autant passer pour une de ses filles, ceci serait peut être bien drôle.

Puis quelques instants plus tard, la Missy se sentait observer. Elle n’osait se retourner mais ne supportait pas le poids de ses yeux posé sur elle. C’est alors qu’en se retournant que ne fut pas la surprise pour la cher demoiselle de se retrouver nez à nez avec Atsumi Akari, élève de Tokyo Gakuen plutôt assez proche des Takara, en personne.

« Pardon, je ne voulais pas t'espionner... C'est juste que je t'avais prise pour une simple élève de TokyoGakuen... »

Une simple élève ? Hanako émit un petit rire. Ceci n’arrivait que si rarement qu’elle l’appréciait. Pour une Missy quel n’est pas le soulagement que d’être prit, ne serait ce que pour un instant, pour une simple et inconsciente élève de Tokyo Gakuen.

Le garçon semblait gêné à cette confusion et Hanako trouva cela très charmant. Il était bien élever à ses yeux.

« Bonjour Akari-kun ! Ne t’en fait pas il n’y a pas de mal. Je t’en pris, elle tapota à coter d’elle pour qu’il s’assoit à ses cotés, ce magasine est d’un pur ennui alors pourquoi pas discuter ? »

La jeune fille sourit en voyant que le garçon s’exécuta à sa demande. Elle l’examina un instant et remarqua que les rumeurs disait donc vrai, Atsumi Akari était vraiment un magnifique jeune homme au visage fin et parfaitement dessiné. Seulement Hanako se bloqua sur une chose qui l’émerveilla un instant. Ses yeux. D’une couleur noir et ténébreuse, Hanako si plongea par instinct. Voyant que celui-ci l’interrogea du regard, elle détourna aussitôt le sien.

« Excuse moi j’étais dans mes pensée »

*que pure mensonge comment ose tu !?*

Atsumi la regardait l’air amuser et c’est à son tour que la Misy l’interrogea du regard, afin de comprendre cet amusement.

- Bonjour Akari-kun ! Ne t’en fait pas il n’y a pas de mal. Je t’en pris, elle tapota à coter d’elle pour qu’il s’assoit à ses cotés, ce magasine est d’un pur ennui alors pourquoi pas discuter ?

Le jeune garçon ne se fit pas prier et s'éxécuta, sous le sourire de Hanako. Une fois assit, il remarqua que la Missy semblait l'observer. Il tourna alors son visage vers elle, l'interrogeant du regard. Il se demandait bien se qu'il avait pour que la jeune fille reste à le regarder ainsi. De l'admiration ? Il se mit à rigoler à cette pensée. Mais celle-ci détourna aussitôt son regard, pour reprendre d'une voix que Atsumi trouvait fort agréable.

- Excuse moi j’étais dans mes pensée

Atsumi se mit ensuite à la regarder à son tour, l'air amusé. Le ton qu'avait utilisé la Missy sonnait franchement faux, mais il ne releva pas. Voyant ensuite que Hanako ne comprenait pas le pourquoi de cet amusement qu'il affichait sur son visage, il décida de briser le silence qui venait à s'installer.

- Je m'excuse pour mon manque de discrétion de tout à l'heure, mais j'étais tellement curieux de savoir ce que pouvais bien lire une élève de TokyoGakuen. Il désigna le magazine du menton, avec un petit sourire au coin des lèvres. Pour être franc, je suis assez surpris. Je ne m'attendais pas à ce que Hanako Matsuda lise ce genre de chose !

Il se mit alors à rire gentiment pour ensuite prendre le magazine en question des mains de la demoiselle. Son regard balaya rapidement la page où se trouvait l'article qu'elle lisait, puis le posa sur ses genoux. D'un ton ironique, il s'empressa d'ajouter, le regard sérieux.

- C'est sùr, je ne m'attendais pas à ce que -il se mit à lire le nom du groupe- BigBang... décide de faire un break. Sérieusement !! Comment les filles vont-elles pouvoir survivre à leur 2 mois d'absence ?! Je me le demande...

Il regarda la Missy pour ensuite lui afficher un grand sourire. Il trouvait ça tellement débile. C'était marrant de voir comment de petits détails insignifiants pouvaient devenir aussi importants pour ces petites groupies. Mais bon... C'était ça, les "stars". Et puis, il devenait de plus en plus habitué à ce genre de chose. Il faut dire que Atsumi n'avait pas trop le choix non plus. Le Japon était l'univers pur des Boysbands et des groupies. Comment ne pas remarquer. Rien qu'a TokyoGakuen. Les groupies y avaient déja élu domicile... Voyant que Hanako continuait de l'observer, il reprit son vrai sérieux.

- Désolé de me moquer, mais c'était plus fort que moi. Et si je t'ai vexée, dis-le moi. Peut-être aimais-tu ce groupe ? Etant donné que tu le lisais...

Il l'a regarda, interrogateur. Il ne voulait pas avoir mis mal-à-l'aise Hanako. Surtout qu'il l'a trouvait très agréable. Il avait juste tenté son petit numéro d'humour pour ainsi détendre l'atmosphère, pas pour la détériorer.

Akari se mit à la regarder à son tour avec un air plutôt amusé. Certainement du au fait que son mensonge avait du vraiment sonner dans le son de sa voix. Mais elle n’en était vraiment pas sur et l’interrogea un instant du regard.

« - Je m'excuse pour mon manque de discrétion de tout à l'heure, mais j'étais tellement curieux de savoir ce que pouvais bien lire une élève de TokyoGakuen. Il désigna le magazine du menton, avec un petit sourire au coin des lèvres. Pour être franc, je suis assez surpris. Je ne m'attendais pas à ce que Hanako Matsuda lise ce genre de chose ! »

Hanako fronça les sourcils. Bien qu’elle n’ais prit se magazine que pour le plaisir de ne pas s’ennuyer, ce jeune homme n’avait pas à critiquer la lecture de la demoiselle. Certes, ce livre était fait pour tenir au courant les petites groupies ambulantes de ses boys band, mais Hanako écoutait principalement se genre de musique et elle n’en avait pas honte.

Le garçon se mit alors à rire gentiment pour ensuite prendre le magasine en question dans mains de la demoiselle. Il examina rapidement la page sur laquelle Hanako c’était principalement attarder, puis il le posa sur ses genoux. Puis sur un ton ironique, il s’empressa d’ajouter, le regard sérieux.

« - C'est sùr, je ne m'attendais pas à ce que -il se mit à lire le nom du groupe- BigBang... décide de faire un break. Sérieusement !! Comment les filles vont-elles pouvoir survivre à leur 2 mois d'absence ?! Je me le demande... »

*il se moque de moi lui !*

Hanako fronça de plus bel ses sourcils. Finalement, passer pour une groupie n’était pas spécialement amusant. Il regarda la demoiselle pour ensuite lui afficher un grand sourire. La Missy écarquilla au même instant les yeux, il se permettait de se moquer et de plus afficher un grand sourire sur ses lèvres. Elle qui croyait pouvoir passer un bon moment avec lui, qui l’avait accueillit chaleureusement, elle s’était bien fait des idées sur lui.

« - Désolé de me moquer, mais c'était plus fort que moi. Et si je t'ai vexée, dis-le moi. Peut-être aimais-tu ce groupe ? Etant donné que tu le lisais... »

Il l’a regarda, interrogateur. Il venait vraiment d’énerver la Missy, mais après tout il venait de s’excuser. Un bon fond ? La Missy voulait bien le savoir.

« Je me moque bien de se que les gens peuvent penser et oui j’aime bien se groupe, bien que je ne m’intéresse pas forcément à ce qu’il compte faire ou pas, tant que leur musique ne disparait pas. »

En effet, le groupe par lui-même Hanako n’y portait pas beaucoup d’importance. Chez des artistes, pour elle, l’important était que leurs musique soit agréable et qu’elle lui plaise, rien de plus. Néanmoins, Hanako se sentait un peu obliger de justifier les raison qui la poussait a lire un tel bouquin, ne voulant pas supporter une fois de plus les moquerie de Atsumi Akari.

« Enfaite si se magazine est arrivé entre mes mains c’est que je n’ais pas trouver se que je cherchais et que je ne voulais pas rentrer immédiatement chez moi. En vérité, je cherchait de nouveau recueil de William Blake »

Voyant que Atsumi faisait une drôle de tête à l’entente du nom de l’auteur des ses recueils rechercher, elle fouilla dans son sac et y sortit le bouquin concerner.

« Tien, c’est l’un de ses recueil. Tout ses livres sont écrit en anglais, je n’aime pas vraiment cette langue mais les poèmes à l’intérieur sont des plus magnifiques. Tu peux regarder si tu veux »

Hanako lui adressa un large sourire. Sa colère était totalement descendu et arrivait à parler à Atsumi comme une personne normal, qui ne lui avait fait aucun reproche et peut être qu’après cela, Akari rectifierait ses dire sur le fait que Hanako ne lisait que des choses absurdes, sans importance et ni culturelle.

« Je me moque bien de se que les gens peuvent penser et oui j’aime bien se groupe, bien que je ne m’intéresse pas forcément à ce qu’il compte faire ou pas, tant que leur musique ne disparait pas. »

Au son de la voix de la Missy, Atsumi se rendit compte qu'il venait de l'énerver. N'ayant pas cherché à la mettre dans cet état, il commença à regretter ses propos et baissa la tête, gêné une nouvelle fois. Mais au moment où il s'apprêtait à lui faire part de ses excuses, Hanako ne lui laissa pas le temps, continuant de plus belle.

« Enfaite si se magazine est arrivé entre mes mains c’est que je n’ais pas trouver se que je cherchais et que je ne voulais pas rentrer immédiatement chez moi. En vérité, je cherchait de nouveau recueil de William Blake »

Atsumi releva la tête. Hanako connaissait cet auteur ? Il était surpris. Voyant le visage qu'il affichait, la Missy se mit à fouiller dans son sac, sortant l'objet de ses recherches. Puis, elle continua sur sa lançée, tendant le livre en question à Atsumi.

« Tien, c’est l’un de ses recueil. Tout ses livres sont écrit en anglais, je n’aime pas vraiment cette langue mais les poèmes à l’intérieur sont des plus magnifiques. Tu peux regarder si tu veux »

Atsumi fut déboussolé par le changement d'attitude de la jeune fille. Au lieu du ton frois qu'elle lui avait adressé quelques minutes plus tôt, elle lui fit un large sourire, comme si rien dde fâcheux s'était produit plus tôt. Atsumi attrapa d'un geste hésitant ce qui lui passa Hanako. Il commença ensuite à feuilleter le recueil, l'examinant attentivement et lisant de brefs passages. Avec un sourire, il tourna son visage pour être bien en face de la Missy.

« C'est la première fois que je me retrouve avec une oeuvre de Blake en main. Ca me fait assez bizarre... »

Devant le regard interrogateur de la Missy, il s'expliqua.

« Avant ma naissance, ma mère était une grande mannequin, réputée dans tout le monde de la mode. Elle a d'ailleurs fait de nombreux défilés à l'étranger. Principalement en Europe. Elle m'a dit que c'était pendant un de ses voyages en Grande-Bretagne qu'elle à découvert ce poète. Enfin, je suppose qu'il a dut la marquer, car depuis que je suis tout petit, dès que l'on ose parler "poésie" chez moi, ma mère finit toujours par dévier sur ce fameux William Blake, affirmant qu'aucune personne n'arrive à sa cheville ! Mais je n'ai jamais eu l'occasion de le lire ni d'en avoir un exemplaire d'ailleurs... »

Atsumi se mit à rire. Il n'avait jamais accordé d'importance à tout ce que sa mère lui avait dit à ce sujet jusqu'à aujourd'hui. Elle avait eut tellement de "passions" passagères, qu'il n'y prêtait plus la moindre attention. Il n'avait donc jamais cherché à lire ces poésies, malgré les nombreux encouragements de sa mère.

« D'après elle, sa meilleure oeuvre est celle-ci. Il désigna le recueil. Mais elle a aussi aimé "Chant d'innocence et d'expérience". En tout cas, j'espère que tu finiras par les trouver.»

Il souria gentiment à Hanako puis lui rendit son livre. Une fois fait, il se mit à souffler de fatigue et changea de position, préférant une plus confortable. Il se passa une main dans les cheveux, toujours silencieux. Puis, se souvenant qu'il n'avait pas fait de correctes excuses à sa voisine, il se rattrapa.

« Au fait, tu sais tout à l'heure... Je ne voulais pas paraître malpolie ni me moquer de toi. C'est juste que je commences à en avoir marre de toute ces groupies et c'était comme une sorte de manière de me défouler gentiment. Donc voila.... Il plaqua une main sur sa nuque, confus. Tout ça pour dire que je ne voulais pas te vexer et encore moins te mettre en colère, ce n'était pas mon intention... »

Il lui fit un sourire gêné, lui montrant qu'il était sincères dans ses paroles. Il scruta ensuite Hanako, cherchant une quelconque réaction de sa part.

Le garçon saisit le recueil, que la Missy lui tendait, d’un geste hésitant. Il commença ensuite à le feuilleter, l’examiner attentivement. Il semblait lire également quelques passages furtifs. Avec un sourire, il tourna son visage pour être bien en face de Hanako.

« C'est la première fois que je me retrouve avec une oeuvre de Blake en main. Ca me fait assez bizarre... »

La Missy sourit, pourquoi ceci lui paraissait si… étrange ? Elle le regarda alors avec plein d’interrogation dans les yeux. Voyant l’insistance du regard de la demoiselle sur lui, il s’expliqua.

« Avant ma naissance, ma mère était une grande mannequin, réputée dans tout le monde de la mode. Elle a d'ailleurs fait de nombreux défilés à l'étranger. Principalement en Europe. Elle m'a dit que c'était pendant un de ses voyages en Grande-Bretagne qu'elle à découvert ce poète. Enfin, je suppose qu'il a dut la marquer, car depuis que je suis tout petit, dès que l'on ose parler "poésie" chez moi, ma mère finit toujours par dévier sur ce fameux William Blake, affirmant qu'aucune personne n'arrive à sa cheville ! Mais je n'ai jamais eu l'occasion de le lire ni d'en avoir un exemplaire d'ailleurs... »

Atsumi se mit à rire. Yutaro Okamoto n’était donc pas le seul à admirer se cher poète et ceci la fit sourire. La mère de Akari avait également eut la chance de le rencontrer et Hanako elle était tombé amoureuse de chacun de ses poémes. Non pas parce que ce livre vint de la part du Prince Okamoto, mais parce qu’elle se retrouvait dans chaque poème qu’elle lisait.

« D'après elle, sa meilleure oeuvre est celle-ci. Il désigna le recueil. Mais elle a aussi aimé "Chant d'innocence et d'expérience". En tout cas, j'espère que tu finiras par les trouver.»

Il sourit gentiment à Hanako puis lui rendit son livre. Oui, elle espérait aussi. Elle voulait elle aussi pouvoir donner son avis et définir sa meilleure œuvre, bien qu’elle ne pense qu’aucune autre ne puisse avoir autant d’attention qu’elle portait à celle qu’elle tenait entre ses doigts.

Le garçon se mit à souffler de fatigue et changea de position, se mettant plus à l’aise, une position convenable et confortable. Il passa une dans ses cheveux, toujours silencieux. Hanako se retourna et rangea son livre et en se retournant du coter de Atsumi, elle vit que celui-ci la regardait gêner.

« Au fait, tu sais tout à l'heure... Je ne voulais pas paraître malpolie ni me moquer de toi. C'est juste que je commence à en avoir marre de toutes ces groupies et c'était comme une sorte de manière de me défouler gentiment. Donc voila.... Il plaqua une main sur sa nuque, confus. Tout ça pour dire que je ne voulais pas te vexer et encore moins te mettre en colère, ce n'était pas mon intention... »

Il lui adressa un sourire gêné, lui montrant qu’il était sincère dans ses paroles. Certes, il avait été exécrable avec elle mais elle avait très rapidement oublié tout cela, ne voulant déclencher un nouveau scandale pour aujourd’hui. La Missy lui rendit alors son sourire, lui dévoilant ses magnifique dents blanche, sourire qui en ensorcelait plus d’un.

« C’est oublier, ne t’en fait pas »

Son regard se dirigea vers l’extérieur, le noir était tomber dans les rues de Tokyo. Elle devrait alors encore rentrer chez elle dans le noir et cela ne l’enchantait guère. Elle repensa à l’agression qu’elle avait subit avec sa protéger, Ayumu Chiba. Sortir en plein soir et seule lui donnait à présent des frissons. La cadette Matsuda se tourna alors vers le garçon, hésitante.

« ne, puis je te demander quelque chose »

Le garçon acquiesça avec un hochement positif de la tête, souriant.

« Pourrais tu me raccompagner chez moi ? car a vrai dire, depuis que je me suis fais agresser dans les rues, j’ai assez peur de vagabondé seule dans les rues de Tokyo »

Voyant la tête étrange que Atsumi tirait, elle ajouta.

« tu n’es pas obliger, hein. »

La Missy lui fit un superbe sourire. Il comprenait maintenant pourquoi beaucoup de garçons n'étaient pas indifférents à son charme. A ce moment précis, Atsumi ne put que la trouver très belle.

« C’est oublier, ne t’en fait pas »

Le garçon se sentit soulagé et lui fit un sourire de remerciement. Il n'avait pas du tout envie de se mettre la jolie Hanako Matsuda à dos. Surtout pour quelque chose d'aussi stupide de sa part. Puis, il remarqua que Hanako scrutait l'extérieur. Atsumi regarda à son tour ce qui pouvait autant attiré son attention mais ne vit rien, à part la nuit qui commençait à tomber sur Tokyo. La jeune fille se tourna ensuite vers Atsumi. Elle semblait hésité.

« ne, puis je te demander quelque chose »

Atsumi l'a regarda avec un sourire pour ensuite hôcher positivement la tête à sa requête.

« Pourrais tu me raccompagner chez moi ? car a vrai dire, depuis que je me suis fais agresser dans les rues, j’ai assez peur de vagabondé seule dans les rues de Tokyo »

Agressée ? La Missy s'était faite agressée ? Atsumi n'en revenait pas. Mais il comprit mieux maintenant la demande de la jeune fille. C'était normal après tout. Une personne avec un minimum de bon sens ne retournerait pas seule dans les rues de Tokyo la nuit juste après s'être fait agresser. Mais au moment où il allait lui donner sa réponse, la Missy le coupa.

« tu n’es pas obliger, hein. »
« Bien sûr que je suis obligé ! Je ne vais quand même pas t'abandonner comme ça ! Surtout après ce que tu viens de me dire ! Puis, il lui chuchota, avec un sourire au coin des lèvres. De toute façon, je me serais arrangé pour te raccompagner. Car j'aime bien ta compagnie, Hanako-chan. »

Il continua de lui sourire gentiment puis se leva. Il s'étira rapidement dans un souffle, prit son sac, pour ensuite tendre sa main en direction de la Missy pour l'aider à se lever.

« Mais bon, il vaudrait mieux partir maintenant avant qu'il ne fasse trop nuit. J'ai beau être un garçon, me balader dans la pénombre ne m'enchante pas beaucoup non plus. On ne sait jamais sur qui on peut tomber... »

Les deux jeunes étudiants sortirent ensuite de la librairie, côte à côte. C'est vrai que la nuit tombait vite ici. Ils étaient à peine arrivés au bout de la rue que la pénombre se faisait déjà grande. De temps en temps, ils croisaient de vieux couples mais c'était tout. Puis, Atsumi se stoppa net en plein milieu du chemin, faisant la grimace. Hanako se retourna vers lui, surprise. Devant ce regard, Atsumi fit une mine désolé et commença à s'expliquer.

« Je viens de me rendre compte que j'ai oublier de prendre le livre que ma mère m'avait demandé de chercher... Attend moi là deux secondes, j'arrive tout de suite ! »

Atsumi se retourna pour faire le chemin en sens inverse, courant le plus vite possible. Heureusement, la librairie n'était pas loin, même pas une minute à pied, il pouvait déjà la voir. Une fois à l'intérieur, il chercha du regard l'homme à qui il avait demandé information la première fois. Il le trouva derrière un rayon, rangeant quelques livres. Un peu essouflé par sa course, il se dirigea vers lui rapidement, ne voulant pas laisser la Missy toute seule trop longtemps.

« Sumimasen, je suis partis un peu vite... Avez-vous le livre que j'ai demandé ?
Oui, il vous suffit juste de le demander à la caisse.
Merci beaucoup. »

Atsumi alla alors prendre le livre de sa mère et s'empressa d'aller retrouver Hanako. Une fois dehors, le temps avait continué de s'assombrir. Puis, tenant le sac d'une manière à ce qu'il ne le gêne pas, il se remit à courir à travers la grande rue. Atsumi vit enfin sa Missy qui l'attendait patiemment. Un sourire apparut sur le visage du garçon mais disparut aussitôt à la vue d'un homme qui s'approchait de la demoiselle. Repensant à ce qu'elle lui avait dit quelques temps plus tôt par rapport à son agression, il fronça les sourcils et alla à leur rencontre. Mais à la vue du jeune homme, haut d'1m86 et assez musclé, l'inconnu fit demi-tour, comme si de rien n'était. Atsumi continua de l'observer et lorsqu'il disparut de son champ de vision, reporta son attention vers Hanako.

« Désolé de t'avoir fait attendre. Mais avec tout ça, j'avais complètement oublié que j'étais venu chercher un livre. Il rigola. Heureusement que je m'en suis souvenu à temps. Je n'ose même pas imaginé ce que m'aurait fait ma mère si elle me voyait rentrer les mains vides ! »

« Bien sûr que je suis obligé ! Je ne vais quand même pas t'abandonner comme ça ! Surtout après ce que tu viens de me dire ! Puis, il lui chuchota, avec un sourire au coin des lèvres. De toute façon, je me serais arrangé pour te raccompagner. Car j'aime bien ta compagnie, Hanako-chan. »

Hanako sourit. Le garçon aimait donc la compagnie de la Missy. Elle en était émue, satisfaite. De plus, il prenait également soin d’elle, ne voulant pas la laisser sortir seule après ce qu’elle venait de lui avouer. Elle trouvait cela assez mignon dans son genre. Le garçon continua de lui sourire gentiment puis vint à se lever. S’étirant dans un souffle rapide, Il prit son sac et tendit une main chaleureuse en direction de la Missy afin de l’aider à se relever.

« Mais bon, il vaudrait mieux partir maintenant avant qu'il ne fasse trop nuit. J'ai beau être un garçon, me balader dans la pénombre ne m'enchante pas beaucoup non plus. On ne sait jamais sur qui on peut tomber... »

La demoiselle se mit à rire mélodieusement. La réplique du garçon l’avait pleinement amusée. Elle attrapa sa main et se leva. Les deux jeune gens sortirent de la librairie, côte à côte. La neige tombait de nouveau sur Tokyo, les nuages assombrir le ciel, ce qui fit tomber la pénombre plus vite que la Missy l’aurait cru. L’angoisse fit place en Hanako. De temps en temps, les deux jeunes croisaient de vieux couples, mais rien d’affolant.

Soudainement, Atsumi se stoppa radicalement, en plein milieu du chemin, faisant la grimace. Surprise, Hanako se retourna vers lui, regard interrogateur. Que se passait-il ? Allait-il laisser la Missy à son propre sort ? Atsumi fit une mine désolé et commença à s’expliquer.

« Je viens de me rendre compte que j'ai oublié de prendre le livre que ma mère m'avait demandé de chercher... Attend moi là deux secondes, j'arrive tout de suite ! »

Hanako n’eut le temps de répondre que le garçon était déjà repartit en sens inverse, laissant la Missy seule dans cette ruelle sinistre. A cette pensé, la Missy frissonna, être seule ici ne la rassurait vraiment pas. Elle avait peur. Elle fit quelques pas en direction du mur et s’adossa contre le mur. Ses talons avaient eut le malheur de faire un bruit du diable dans l’allée de la rue, raisonnant jusqu’à son bas fond. L’angoisse montait.

La demoiselle croisa les bras sur sa poitrine et attendit. Pas un bruit, rien ne se faisait entendre dans cette rue si sombre. Soudain, un bruit strident fit sursauter la jeune fille. Elle tourna ses yeux vers la source de bruit. Un chat. Elle se sourit bêtement. Se baissant vers le chat et le caressant gentiment.

« Tu es mignon chaton, tu es perdu ? »

Après les paroles que Hanako prononça, le chaton hérissa son poil et souffla en direction du fond de la ruelle, puis partit. La cadette Matsuda ne comprit pas immédiatement mais en se relevant, elle aperçu au loin, une silhouette qui lui paraissait familière. Assez grande, baraqué,… Hanako frissonna en le reconnaissant lorsque son corps passa dans la lumière. L’un des hommes qui l’avait agressé. Tétaniser, la jeune fille ne pouvait bouger. Puis l’homme fit demi-tour, se retournant, elle vit Akari se revenir.

« Désolé de t'avoir fait attendre. Mais avec tout ça, j'avais complètement oublié que j'étais venu chercher un livre. Il rigola. Heureusement que je m'en suis souvenu à temps. Je n'ose même pas imaginé ce que m'aurait fait ma mère si elle me voyait rentrer les mains vides ! »

La demoiselle lui adressa un large sourire. Elle se sentait rassuré maintenant, il était de retour près d’elle. Elle lui adressa un large sourire comme pour lui dire qu’il n’y avait aucun problème. Akari dut certainement voire que la jeune fille était encore affolé après avoir reconnu l’homme qui se rapprochait d’elle.

La Missy détourna le regard et avança rapidement relançant leur marche. Atsumi se replaça rapidement à ses cotés, se rapprochant d’elle comme pour la rassuré. Cet acte la fit sourire, il était si attentif, mais pas comme l’était Ten avec elle. Un nouveau sourire, différent des autres, vint se dessiner sur ses fines lèvres. Ten voilà qu’elle pensait de nouveau à lui. Il lui manquait tellement. Elle voulait le revoir.

Les deux jeunes gens s’engouffrèrent dans les profondeurs noires de la rue, et cela faisait encore et encore frissonné la Missy. Elle se tourna vers Akari, voulant lui signaler son inquiétude.

« Akari-kun, je… »

Soudain le garçon s’effondra au sol, laissant apparaitre un nouvel arrivant sur les lieux. L’homme qui se trouvait quelques temps plutôt dans la ruelle. Hanako recula tandis que l’homme lui, souriait machiavéliquement. La jeune fille était tétaniser et que ne fut pas sa surprise de sentir un second corps, se trouvant derrière elle. Se retournant instinctivement, l’angoisse était au plus haut point. Elle se jeta sur le garçon à terre.

« Akari-kun ! Réveils toi VITE !!! »

Hanako avait beau crier, le garçon n’ouvrait pas les yeux, assommé. Puis, les deux hommes vinrent prendre la demoiselle avec eux, chacun par un bras, il la trainait dans un endroit qu’elle ne connaissait pas.

« ATSUMIIIIII !!!! »

En vain, la Missy avait beau hurlé, demandé de l’aide, elle fut emmener au loin du garçon complètement sonné sur le sol. Une main vint se porter sur sa bouche pour l’empêcher de parler et le corps de la jeune fille fini entièrement dans les bras d’un des deux agresseurs. L’avait-il reconnu ? Elle qu’il avait déjà rencontré avec son amie ? Elle espérait que non car elle aurait encore plus d’ennuis, soudain elle s’endormit.

Hanako ouvra les yeux 15minutes plus tard. Elle était attachée sur une chaise, dans une usine désaffectée de Tokyo. Elle voulu crié mais sa bouche était bâillonnée. Elle n’avait que ses yeux pour exprimer sa pitié.

« Tu croyais sincèrement que nous allions pas te retrouver chère princesse »

Les yeux de Hanako s’écarquillèrent à l’approche du garçon près d’elle, le leader qui l’avait maintenu devant le spectacle lorsque ces camarade et Hikaru se battait afin de la sauver. Une main vint se poser sur sa longue chevelure et une autre sur son cou. Elle yeux de Missy l’implorait. Elle voulait qu’il la laisse en paix. Jamais elle ne divulguerait toute cette affaire, mais elle voulait seulement partir. L’homme la débâillonna, lui laissant la parole, mais Hanako ne disait rien, elle restait muette, tétaniser devant cette bande d’ingrate.

« Tu ne vas pas être déçu de nous avoir rencontré, ma jolie »

Soudain, l’homme la détacha et par sa chevelure, il l’éjecta sur le sol. Un hurlement de douleur sortit de la bouche de la Missy atterrissant sur une étagère en métal. Elle rapporta une main sur sa tête. Du sang. L’homme se rapprocha vivement de son corps couteau à la main. Le cœur de la Missy battait à vive allure, elle allait regretter encore une fois d’être sortit en pleine nuit. Le couteau vint défaire les boutons du haut de son uniforme scolaires et en un seul regard, tous les autres, ainsi que l’homme présent se jetèrent sur la demoiselle. Elle ne put échapper qu’un seul prénom de sa bouche en appelant au secours.

« KYO !!!!! »

Celui de son frère.