Junko Araki

~ Personnage ~

Nom : Araki
Prénom : Junko
Age : 18 ans
Classe : 3°C
Année : 3eme
Situation familiale : Père : PDG d'une société spécialisé dans la protection rapprochée. (gardes du corps, si vous préfèrez... ). Mère : pianiste renommée.
Avatar : Abe Asami

Physique :

D'apparence frêle, Junko est effectivement la jeune fille fragile qu'elle semble être. Mais déjà, commencons par le visage, et passons outre sa taille ou son poids (un mètre cinquante pour un poids conséquent. Et oui, petite.). Des traits fins, un petit nez délicat et une fine bouche ; ce n'est pas un visage extraordinaire, mais elle est loin d'être laide. Cependant, peu de personnes peuvent se vanter de l'avoir vu sourire : son visage réflete toujours une expression sérieuse. De même, son regard fuit les autres regards, et elle ne parle que très peu. Car la demoiselle est d'une timidité maladive, n'osant jamais parler, ce qui la fait passer pour muette. Si toutefois ses yeux croisent un autre regard, alors cette dernière en deviendra rouge pivoine tout en détournant poliment la tête.

Victime d'une faible santé, elle a souvent été malade dans son enfance, ce qui explique par ailleurs qu'elle ai eu si peu de relations sociales étant petite. Aujourd'hui encore, elle reste asthmatique, et faible face au moindre rhume qui voudrait bien pointer son nez. Sans compter que la moindre écorchure restera comme grâvé sur sa peau assez longtemps : et qu'un rien peut l'écorcher justement. Autant dire que la demoiselle se comporte souvent comme une princesse, faisant attention au maximum à elle.

Concernant ses gouts vestimentaires, elle choisira toujours quelque chose de raffiné, de préférence. Déjà, parce que c'est tout ce que lui autorise sa mère, et ensuite, parce qu'elle aime cela. Elle détesterait tout simplement porter un vêtement commun, comme un simple t-shirt. Ou pire encore, devoir se promenez chez elle en jogging. Impensable pour elle. De plus, si elle n'aime guère le maquillage, elle aime les parfums et les bijoux. De ce fait, il n'est pas rare qu'elle mette au moins un tout petit peu de parfum, avec un collier ou une bague. Discret, eux aussi.

Caractère :

Vous l'aurez surement compris, elle n'aime pas parler. En ce qui concerne ses relations sociales, c'est un grand vide. Le néant. Plutôt que de devoir parler, elle préfère écrire ce qu'elle souhaite exprimer dans un petit cahier qu'elle a toujours sur elle. Timide, à un point que vous n'auriez jamais osé croire, elle reste cependant très polie. Et très féminine. Après tout, ayant grandie entre son père, chargé d'une société rempli de gardes du corps, et d'une mère délicate, fragile et musicienne, elle a le petit cliché : les femmes sont fragiles et les hommes les protege. Vous ne pourriez hélas pas retirer ceci de sa tête. Montrez-lui une femme boxeuse vraiment douée : elle hochera doucement la tête en acquiescant, comprendra ce que vous lui direz, mais continuera de penser qu'une femme ne doit pas agir ainsi. Candide, serait un bon terme pour qualifier la jeune Junko.

Faussement candide, disent parfois les gens derrière son dos. Faussement ? Bah... Elle n'est pas naive, voilà tout. Et étant, grâce à son père, souvent entouré d'hommes pour la protéger, elle n'hésite parfois pas à s'en servir si vous tentez de lui faire des misères. Timide et reservée, oui ; gentille et bonne poire : oui, jusqu'à une certaine limite... Pas naive ? Jusqu'à une certaine limite aussi. Car même si elle se prétend réaliste, elle ne comprends pas toujours que c'est bien elle qui fait parfois tourner la tête des garcons, et que certains ne peuvent s'empecher de la regarder, s'interrogeant sur le son de la voix de cette dernière. Car pour ca, c'est un vrai mystère. Personne encore ne l'a jamais entendu parler. Mis à part ses parents. Enfin, sa mère surtout.

Observatrice, et possèdant un esprit fin et logique, elle peut se réveler incroyablement brillante dans ses études, tant que c'est sur une feuille et qu'elle ne doit pas faire face à toute une classe. Ah, timidité, quand tu nous tiens... Plutôt solitaire, il lui arrive fréquemment d'avoir des petites dépressions. Qui passent toujours inapercues. Plus pessimiste qu'optimiste, elle prétend être réaliste. Généralement patiente, elle s'efforce du moins de ne pas céder à la colère. En revanche, elle est peu prêteuse. Ce sont SES gardes du corps, SON cahier... Et si elle avait des amis, ce serait SES amis. Car après tout, qui sait si elle ne finira pas par avoir des amis.... Une curieuse jeune fille, me diriez-vous ? Sans doute. Sans doute... Car se lier d'amitié avec elle ? Difficile. Dur même. Plutôt rancunière, elle ne supporterait pas la moindre petite trahison, ou même, la moindre déception. Oubliez de tenir une promesse envers elle, et vous pouvez être certain de ne pas regagner son estime avant des mois et des mois. Capricieuse ? Presque. Seule son éducation la retient de l'être. En revanche, c'est une jeune fille fiable, et fidèle à ses convictions. Elle a des principes, et refusera toujours de s'en détourner. Comme par exemple, refuser un cadeau d'un homme qui a déjà une petite amie.

Quant à son opinion sur le lycée Gakuen ? Oh, tant que personne ne l'embête, elle se contente d'assister gentiment aux cours. Les T6 et les Three Missys, elle les a déjà vu de loin... Mais à moins de six mètres, elle risquerait de devenir rouge comme une pivoine. Et de manquer de faire un infractus si c'est un T6. Groupie ? Non, juste intimidée à un niveau que vous n'auriez jamais cru possible dans la réalité.

En résumé ? Une adorable petite fille qui se cache derrière une carapace aussi dur que la pierre.

Histoire :

Comment débute l'histoire d'une demoiselle comme elle ? Par la romance de ses parents sans doute ? Bien qu'en réalité, il n'y est que peu de choses à en dire. Son père s'intéressait de près à la boxe étant plus jeune, et récupera la société de son propre père. Sa mère, issue d'une famille modeste, jouais du piano depuis son enfance. Et lorsqu'ils eurent un enfant, ce fut une petite fille minuscule, et incroyablement fragile. Au point de leur causer beaucoup de tracas, obligant sa mère à se rendre régulièrement à l'hopital ou chez le médécin. Du moins, les deux premières années de sa vie. Car sa mère, souhaitant tout de même reprendre sa carrière de musicienne, les Araki engagèrent une nourrice.

Petite, on la cru longtemps muette. Déjà de nature reservé, c'était le genre de bambin que vous posiez quelque part et que vous retrouviez au même endroit, même une heure après. Elle préfèrait de loin observer plutôt que de courir partout. Et surtout, elle n'avais jamais émis le moindre son. Ni caprice, ni râlement, ni rien. Alors, imaginez le soulagement lorsqu'enfin, à cinq ans, elle appela sa mère. Seuls témoins : la nourrice et sa mère. Vous l'auriez compris, elle a toujours eu une forte relation avec sa mère. Quant finalement, elle fut en âge d'aller à l'école, elle n'y resta que trois jours. Fragile, ne supportant pas le stress d'être brusquement comme "lâchée parmis les fauves", ou des enfants riant, pleins de santé, bruyant, à côté d'elle, la petite fille dans son petit monde à part, elle en fut malade. Bien que son père insista au début pour qu'elle retournât à l'école, il fut forcé de se rendre à l'évidence et d'engager quelques professeurs particuliers. Petite, alitée, n'ayant jamais connu d'enfants de son âge, ni les jeux d'enfants, ni les petites choses à la mode : voilà son enfance.

Cependant, sa mère exigea tout de même que sa fille en profite alors pour étudier la musique. Bien qu'elle tenta de lui apprendre le piano, la jeune demoiselle préféra rapidement le violon. L'un de ses uniques caprices. Ca, et le français. Quoi de plus "classe" que de savoir parler une langue réputée pour son romantisme ? Un second caprice qui lui fut accordé. Après tout, si elle souhaitait étudier, pourquoi l'en empêcher ? répondit le père en haussant les épaules devant la requête de sa femme. Surtout que ce dernier n'abandonna jamais l'idée de placer sa fille dans une école. Et finalement, il obtint gain de cause, réussissant à la placer dans un lycée. Le lycée Tokyo Gakuen.

Au début, intimidée, inquiète, et angoissée comme jamais, la jeune Junko dut se faire violence. Se fondre dans la masse scolaire à l'âge de seize ans ? Difficile, n'est-ce pas ? Surtout qu'elle fit assez parler d'elle. Les premiers temps surtout. Beaucoup se demandèrent d'où sortait soudainement cette jeune fille. D'autres se mirent à lancer des hypothèses plus farfelues les unes que les autres sur son mutisme. Un viol, un traumatisme, une fille qui aime se faire remarquer, une alien, restèrent les rumeurs les plus raisonnables. Mais finalement, les étudiants se lassèrent d'en parler et trouvèrent rapidement d'autres sujets de conversations bien plus croustillants. Les T6 par exemple. Les Three Missys également. Ce qui arrangea bien Junko ; la paix et la solitude, c'est tout ce qu'elle demandait. Et c'est ainsi qu'elle passa les deux premières années dans ce lycée.

Relations :

Si la jeune fille s'entend très bien avec sa mère, qui est d'ailleurs la seule personne a avoir pu converser avec elle oralement, elle aime son père d'un tout autre manière. Disons qu'elle respecte ce dernier, car c'est son père, mais qu'ils ne se comprennent qu'à moitié. Cependant, elle apprècie que ce dernier soit protecteur envers elle, lui assignant toujours au moins un ou deux gardes du corps. Sa mère en revanche, est une véritable modèle pour elle. Elle aime demander conseil à cette dernière, lui faire confiance en matière de mode, et jouer quelques morceaux de musiques avec elle. En ce qui concerne sa nourrice, qu'elle n'a plus depuis à présent un an, elle n'était pas particulièrement proche d'elle. Pour elle, cela ne reste qu'une femme qui s'occupait d'elle parce qu'elle était payée pour cela. Avec un tel raisonnement de sa part, il est "logique" qu'elle n'ait pas de réelle affection pour cette dernière.

Pour le reste, lisez son petit cahier de note si vous voulez converser avec elle. A moins qu'elle ne soit trop intimidée pour cela.


~ Et vous ~

Pseudo : Mango
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Comment l’avez-vous découvert ? Bonne question. Je ne sais plus, il trainait dans mes favoris, donc je suppose que quelqu'un me l'a montré et que je l'ai mis en favoris pour plus tard...