Noriko enceinte de Shohei ?! [ Shohei & Yuriko ]

Ses talons se mirent à raisonner dans la salle, les silence se turent et se retournèrent à son avancement. Tous s’écartèrent, plus elle approchait et plus Shohei pouvait remarquer que son visage avait une toute autre expression que ses rencontres avec elle auparavant. Elle vint rejoindre les deux garçons. Passant devant Afuka, sans adresser un quelque conque regard au Trésor, elle pivota en direction de la foule, s’adressant au élève d’une voix piquante mais calme.

« - Vous avez apprécié le spectacle ? Maintenant déguerpissez. »

Certains s’exécutèrent mais d’autres, qui représentait la plus part des élèves présents, restèrent à leur place. Puis la Missy se rapprocha de l’un d’eux et l’attrapa le premier par le col.


« - A moins que vous voulez tous avoir des problèmes ! »

Surpris par l’attitude de la Missy, le jeune homme se fit aisément recalé contre la table. Tous partirent d’un pas plus que presser, apeuré par Yuriko. La porte se referma sur la dernière personne et Shuji esquissa un léger mouvement qui fit pivoter la demoiselle en sa direction. Elle l’attrapa par le bras et l’installa sur la première table venue. Cet acte fit froncer les sourcils du Takara, pas un seul regard, rien à son égard, tout allait en direction de Shuji, le traitre. La Missy se dirigea vers le bureau du professeur de classe et fouilla dans les tiroirs. Objet en main, elle retourna vers le jeune homme et entreprit de le soigner.

Shuji était certes sonner par les coups porter par le Trésor mais semblait bien conscient et était amusé de la situation.

« - Ce n’est pas pour tes beaux yeux que je fais ça. La vue de ton sang m’énerve. »

Cette réplique arracha un léger sourire à Shohei ainsi qu’à Shuji. Néanmoins, Sho était terriblement agacé par l’attention que la Missy portait au garçon et non à lui.

Une fois les soins finis, Yuriko soupira.

« - Noriko n’est pas enceinte. Elle est juste malade. Concernant ce qu’il s’est passé ce soir-là, Noriko ne m’avait jamais dit qu’elle avait passé la nuit chez Shohei. »

Soudain, elle se retourna vers le Trésor, regard noir et durcit par ses mots.

« - Je ne sais pas ce que ça cache de louche. Mais je serais curieuse de connaitre la version de monsieur « traçons notre destin ». Quand je pense que j’ai failli te croire. Quand je pense que j’ai failli y croire. Mais vas-y, quelle histoire as-tu à nous conter ? »


Shohei écarquilla soudainement les yeux. Lui et Noriko savait que cette nuit n’avait pas été louche pas du tout, se confié était-il si mal ? Son regard se durcit à son tour mais ne put s’empêcher également de se voiler aux mots de la Missy. Monsieur « traçons notre destin ». Yuriko ne pensait plus alors à la sincérité des mots de Shohei envers elle ? Y avait-elle seulement pensé ? Le Trésor avait un énorme doute. Yuriko n’avait rien à lui reprochée et surtout elle continuait de le faire souffrir jour en jour. La nuit où Noriko avait dormit chez lui, c’était dérouler bien avant qu’il lui déclare ses sentiments et bien avant qu’elle ne sorte avec Shuji, où était le mal ?

« Ce que je vais te dire n’est rien que la vérité, prends la comme tu l’entends mais moi je n’ais rien à me reprocher »

Il soupira, il avait également essayé de l’expliquer à Shuji mais ceci avait été en vain et il savait pertinemment qu’avec Yuriko cela allait être la même chose.

« Cette nuit là c’est dérouler en début d’année, bien avant le bal et bien avant que toi Shuji tu ne sorte avec Noriko, j’ai rencontré Noriko dans le parc de la ville alors qu’elle, en quelque sorte, m’espionnait à travers un buisson. Elle était seulement vêtue d’une robe fine alors j’en avais déduit qu’elle revenait de boite de nuit. Voyant qu’elle ne souhaitait pas rentrée et moi non plus nous somme aller déguster des pâtisseries, celle où je t’ai emmené Yuriko. Puis après avoir parler longuement ensemble, elle c’est endormi. Elle dormait si bien et je l’ai trouvé si mignonne que je n’ai pas osé là réveiller, de plus je ne savais pas où elle habitait. Certes je sais que ce n’est pas une excuse valable mais je serais encore passer pour la brute ambulante réveillant une jeune fille tant fatiguer. Donc je l’ai emmené au Manoir Kimura. Elle à passer la nuit dans mon lit et moi sur le divan à l’autre bout de là pièce. Et nous avons passé le reste de la journée à nous confié. »

Shohei souffla à cette révélation. Il ne savait comment les deux autres personnes présentes allaient régir mais il n’en avait que faire, ceci n’était que la pure vérité et Noriko serrait en témoigner devant eux.

Voyant le regard pesant de la Missy sur lui il se permit d’ajouter.

« Je considère Noriko comme la petit sœur que je n’ai pu avoir, je ne me permettrais jamais de lui faire du mal »

Shohei observait les deux personnes présente devant luis. Le regard de Yuriko se voila tandis que celui de Shuji se durcit. Il ne semblait pas croire les mots pourtant véridique du Trésor et Shohei arrivait même avoir une lueur de dégout dans les yeux de Shuji, à son égard. Ce dernier lui lança un regard noir avant de se lever et de se diriger vers la sortit. Puis il se retourna vers Shohei.

« Aucune de t'es paroles m'atteigne. Tant que je n'ai pas eu la preuve que tu n'as pas coucher avec Noriko, je te haïrait jusqu'a la fin. Tant que je n'ai pas trouver celui ou celle qui à manigancer tout sa, je ne te croirais pas. Ce n'est pas la peine d'essayer de m'atteindre ... Je veux dire, de NOUS atteindre avec des paroles dit comme si de rien ètait. Si cette rumeurs à été lancer, il y eu quelque chose entre vous. Enfin ... Je ne crois plus personne maintenant. Plus personne ne me bernera à présent. Je ne veux plus faire affaire à sa. Shohei, tu es un traitre. »

Un traitre ? Le Takara fronça les sourcils, il n’aimait pas ça. Shuji venait d’aller trop loin. Es ce qu’il n’était pas censé êtres des amis ? Non, Shuji avait tous briser en venant sans prendre au Trésor.

Sho se leva d’un bond et, la haine dans les yeux, la haine de ne pas convaincre Shuji qu’il n’y avait rien de louche dans cette histoire, il le prit une nouvelle fois par le col avant de le bloquer entre lui et la porte.

« Qui ta permit ! »

« C'est pas la violences et les coups qui vont tout résoudre. C'est sous le coup de la colère qu'on se laisse aller. Murit un peu, arrête de te prendre pour un gamin, celui qui veut tout résoudre par la violence. Celui qui veut se montrer le plus fort. »

La rage se propagea encore plus dans les yeux du Trésor, Shuji avait signé son arrêt de mort. Peut être que Shohei ne s’en prendrait pas à lui immédiatement, mais il aurait sa vengeance et en ressortirai vainqueur, comme à son habitude. Un gamin prétentieux n’allait pas lui enlever sa fierté, certainement pas.

Shuji porta sa main sur celle qui le maintenait fermement, et la décolla délicatement de son vêtement.

« De toute façon, tu peux me rouer de coups, rien ne changera à la situation. Sois tu me lâche, et je pars en essayant de trouver la personne qui à fait tout sa, sois on se bat comme des gamins. »

Un sourire s’afficha sur ses lèvres, un sourire qui déplu au Trésor, il se foutait royalement de lui. Des gamins ? c’était pourtant lui qui avait tous lancé, qui s’en était prit à Shohei Kimura sans même lui avoir laisser la chance de donner son explication. Shohei fronça encore et encore les sourcils, n’y ressentant que dégout et haine pour son ancien ami.

« Et je ne penses pas qu'a nos âges, le rang de "gamins" nous appartient. Alors abstient toi. »

Une lueur rouge envahi les yeux de Kimura. D’où la minuscule termite de Shuji Afuka se permettait de donner des ordres au grand Shohei Kimura ? Néanmoins, Shohei se retenait, ne voulant pas lui casser encore plus la gueule qu’il ne l’avait déjà. Un dernier regard à l’adresse du Trésor, un regard noir qui voulait tout dire. Shohei afficha un sourire malsain sur le bord de ses lèvres, s’il croyait qu’il le laisserait sans sortir de cette façon il pouvait se le mettre la où le Trésor le pensait si fortement. Puis il s’inclina devant la Missy.

« Si vous voulez bien me donner la peine, je m'en vais. »

Sur ses mots, il s’éclipsa. Laissant un Shohei et une Yuriko seuls à leur propre explication. Shohei était venue se matin exprès pour elle, mais pas pour ses conditions. Le regard du Trésor se voila, voyant la tristesse sur le visage de sa bien aimée. Qu’avait-il fait pour qu’elle se mette dans un état pareil ? Ne devrait-il pas que se soit Shohei à la place Yuriko entrain de se morfonde dans son coin voyant que leur unisson étaient maintenant impossible ? Il ne comprenait plus, il ne La comprenait plus.

Il l’obsrevait, ne bougeant pas de là où il se trouvait. Elle passa une mains sur son front, ce geste l’inquiéta tout de même, mais il ne bougea. Le jeune fille prit une chaise et s’assit, sous les yeux interrogateur et inquiet du Trésor, prenant sa tête entre ses mains, pour enfin la baisser cachant son visage de ses cheveux. Pleurait-elle ? c’était la première chose qui était venue à le tête du Rokou Takara. Il avait vue Yuriko sous déjà beaucoup de facette différente et si, elle cachait ses larmes à cet instant, cela ne l’étonnerait même pas.

« - Ma tête … »

Shohei fit un pas vers elle à ces mots. Instinctivement, il se stoppa. Elle ne voudrait certainement pas qu’il s’approche d’elle et encore moins maintenant. Il passa une main dans ses cheveux lorsque l’autre essuya sa lèvre qui saignait toujours. Il souffrait, mais elle souffrait-elle ? Son cœur si froid, barré d’une barrière de glace, le Trésor l’avait-il fait fondre ? Il ne sut quoi faire. Les mots sortirent tout seul de sa bouche.

« Je ne comprends pas »

Il ne bougea pas, fixant Yuriko assise sur cette chaise sans bouger. Pourquoi ne bougeait-elle pas ? Pourquoi ce montrait-elle si cruelle ?

« qu’ai-je fait bon sang ? N’accordera tu donc jamais d’importance aux mots que les autres prononce ? Ne penseras tu donc à jamais qu’à toi jusqu’au jour de ta mort ? »

Kes yeux rageur de Shohei s’était à présent humidifié, il allait pleurer, pour une deuxième fois dans le moi. Il ne voulait plus se taire, il voulait parler, s’exprimer, dire se qu’il ressentait, que cela blesse ou non la Missy en face de lui.

« Noriko est importante pour moi, comme un membre de ma famille. Je me suis confié à elle, et tu faisais partie de mes confidences. Sans elle, sans toutes ses révélations, je ne t’aurais jamais dit se que je ressentais et tu continuerais de vaguer d’hommes en hommes. Lorsque je parle de toi Yuriko, lorsque je te dit ses mots, je ne peux être plus sincère que je le suis déjà »

Il s’approcha d’elle afin de se retrouver derrière la chaise où elle siégeait. Il sentit les larmes monter, elles étaient si proches.

« Yuriko, je t’aime, pour…quoi en …doute…tu…tant »

Il n’avait réussis à les contenir, s’effondrant littéralement sur le sol glacé se tenant à la chaise où se trouvait Yuriko. Pourquoi doutait-elle encore et encore ? Ne pouvait-elle pas simplement croire les mots du Trésor ?

« - Je ne doutes pas de tes sentiments pour moi … Shohei. »

Sho ouvrit les yeux, ne cessant pas pour autant ses larmes, ces larmes qui lui procuraient tant de bien, de liberté. Yuriko se redressa doucement, tournant toujours le dos à Shohei.

« - Mais regardes-toi, regardes autour de toi. J’ai l’impression qu’un seul de mes gestes, paroles, peut te rendre heureux ou te faire sombrer dans la peine. Est-ce ça, l’amour ? Se sentir si dépendant de l’autre au point d’en souffrir ? Est-ce ça, ce que l’on s’offre ? »


Peut-être que Shohei Kimura souffrait au point d’en mourir, mais il n’abandonnerait jamais Yuriko Chizumu, sa destiné, à un autre homme que lui. Il avait choisi lui seul de souffrir à son contacte, à ses gestes, à ses paroles, alors la Missy n’avait rien à se reprocher, strictement rien.

L’amour. Sentiment se faisant nommé le plus merveilleux du monde. Mais qui l’avait appelé ainsi ? Se sentiment n’est pourtant que souffrance, mis à part dans les films. Les personnes croyant aux contes de fées, ne sortirait jamais indemne d’une relation amoureuse, ou alors d’un simple jeu entre homme et femme.


« - Regardes Afuka. Je n’ai pas envie que nous arrivions à ce stade. Car qu’arrivera-t-il quand, un jour, tu entendras une rumeur sur moi et un autre homme ? Car des rumeurs, il y en aura. A l’intérieur, comme à l’extérieur de Tokyo Gakuen. Tu sais comment je suis. Arriveras-tu à me demander calmement des explications ? Arriveras-tu à ne pas croire ce que l’on raconte, quand tu sais comment je suis ? Ne douteras-tu jamais de moi ? »


Shohei l’ignorait. Certes, si certaines rumeurs courraient sur Yuriko, il les écouterait mais y croirait-il ? Surtout après cette journée ? Non il aura confiance en la Missy. Mais si il adviendrait sue cela soit vrai, il n’arriverait certainement pas à demander, calmement, des explications. Sans pour autant la frappé, il crierait, ne ressentant que l’incompréhension dans sa tête. Mais au fond de lui, il pourrait comprendre le ressentit de Yuriko. Elle était une fille se donnant à plusieurs hommes et du jour au lendemain, elle ne pouvait s’abstenir d’un tel comportement, d’une telle habitude. Certes Sho en souffrirait, mais il l’accepterait, par pur Amour envers elle.


« - J’en doute. Quand on aime, comme Afuka, on souffre tellement qu’on ne voit plus le vrai du faux. Si je suis si cruelle avec toi, c’est que je ne veux pas qu’il t’arrive la même chose. Et pourtant … »

Les yeux de Shohei s’humidifiaient. Plus la Missy parlait plus ses yeux lui faisait mal. Le Trésor se moquait bien de la souffrance, il voulait rester près de la Missy dans n’importe quel situation, il la croirait elle et personne d’autre.


« - Et pourtant … Même si je refuses ce que tu me donnes, si je me mets toutes ces choses en tête, si je me forces à m’éloigner de toi … Pourquoi … Pourquoi je ne fais que te chercher chaque jour qui passe ? Pourquoi est-ce que lorsque je t’aperçois, je ne cherche qu’à être dans tes bras ? »

Le visage du Takara se leva vers la Missy, elle tremblait. Mais les mots, ses derniers mots l’avaient touché en plein cœur. Elle le cherchait, voulait être dans ses bras, mais elle ne trouvait signification à tout cela.


« - Pourquoi est-ce que je te veux autant ? »

Les yeux du T6 s’écarquillèrent. Elle voulait qu’il lui appartienne, rien qu’a elle. Qu’il voue son existence que pour ses beaux yeux. Shohei se mit à sourire, essuyant ses larmes avec sa manche. Il l’acceptait. Il le ferrait.

Il se leva, se positionnant devant la demoiselle en pleure, fuyant son regard. Il ne voulait plus la voir pleurer.

« Quoi que tu dise, quoi que tu fasse, jamais je ne renoncerais. Je souffrirais peut être, mais j’accepterais. Tu n’as rien à te reprocher, tu es comme tu es et le jour où je suis tombé amoureux de toi, je t’ais choisi car tu étais comme cela. »

Ses mains vinrent prendre celle de la Missy. Qu’elle le veuille ou non, il ne renoncerait jamais à elle, tel était son choix.

« Cet amour avec souffrance je l’ai choisi moi-même et je ne veux pas y renoncé. »

A ces mots, le trésor rapporta son regard vers Yuriko. Puis posa ses lèvres sur les siennes, passant une de ses mains derrière son cou et de l’autre essuyant les larmes qui coulaient sur les joues de la jeune fille. Tant qu’elle serait là, il ne souffrirait pas.

Shohei ne voulait que le contact de leur lèvre ne se brise. A cet instant, il voulait seulement que Yuriko lui fasse oublier, oublier ses malheurs, ses soucis, il ne voulait vivre que pour elle en ce fragment de seconde. Elle n’était certes qu’une tige épineuse et sec d’un rose se fanant jour pour jour mais elle illuminait la vie du Trésor. Il avait décidé d’enlever une à une ces épines gênante et faire fleurir la merveilleuse fleure se cachant au fond de sa Reine. Yuriko pensait peut être qu’elle ne pouvait rien offrir mais lui, Shohei Kimura, étant aussi têtu qu’elle, il en avait déduit le contraire. Il savait qu’elle pourrait lui offrir un bonheur infini, n’étant que seulement à ses cotés, ne l’ignorant pas… le regardant lui, lui seul. Le Trésor ne la forçait à l’aimer, il voulait juste qu’elle comprenne, qu’elle comprenne qu’elle n’était pas mauvaise, qu’elle avait un cœur, et que se cœur il pourrait un jour se réchauffer et que cette glace persistante autour de lui, fondrait avec son malheur.

La main de la Missy s’engouffra dans la chevelure blonde du Trésor. Rien que ses mains au contact de son crane, réchauffait le cœur du Takara. Elle ne le faisait pas autant souffrir qu’elle ne le croyait, bien au contraire. Se détachant doucement de ses lèvres, ne brisant pas leur contact, lié à quelques millimètres, la demoiselle murmura le prénom du garçon. Ce dernier sourit doucement. S’était comme si elle voulait lui prouver qu’il n’était que le seul et l’unique, la seule chose que cette jeune fille malheureuse désirait. Caressant le visage encore mouillé par les larmes qu’il avait versé, Yuriko prononça.


« - Pourquoi es-tu triste, Shohei ? Tu m’en veux de t’avoir laissé ? »


Shohei eut un regard surpris, se rappelant de cette phrase déjà sortit de la bouche de la Missy. Oui, l’amphithéâtre. Tout c’était joue là bas. Il c’était retrouver après quelques minutes de séparations. Le visage du Trésor complètement abattu face aux larmes de la demoiselle chantant à ses cotés. La voir souffrir, pleurer, tout ceci n’était que torture, voilà se qui le faisait souffrir,… son malheur, sa persistance à croire qu’elle n’était rien dans se monde si lumineux. Mais pour Shohei elle représentait son seul espoir de vivre. Démon de ces nuits, mais le magnifique soleil de sa vie.

Yuriko se serra dans les bras du Rokou Takara, resserrant encore leur étreinte, étreinte que Shohei désirait plus que tout. La demoiselle embrassa le cou de Shohei, le serrant encore plus dans cette étreinte. Ses doigts parcoururent se nuque.


« - J’ai mal quand tu souffres, Shohei. S’il te plait, dis-moi que tu n’as plus mal. Ou dis-moi ce que je dois faire pour ne plus voir ses yeux si triste. »


Le visage de Shohei se dirigea sur celui de Yuriko, pointant son regard dans le sien. Tout ces mots avait été prononcé lors de leur soirée dans l’amphithéâtre et ceci ne put empêcher le Trésor de sourire, car cette fois ci s’était la jeune fille qui ne voulait pas voir Son Trésor souffrir.

Shohei attrapa le visage de sa demoiselle de ses mains. Raprochant son visage, il déposa un furtif baiser sur ses lèvres et replongea son regard dans le sien.

« Yuriko, tant que tu sera près de moi je n’aurais plus mal, je ne souffrirais plus. Car tu c’est, dans mon amour que tu crois que je souffre tant par ta faute, c’est faux. La seule chose qui me rend malheureux, c’est de te voir toi tant souffrir et de ne jamais voir ton si magnifique et vrais sourire »


A cette instant et contre toute attente, la Missy se mit à sourire différemment des fois précédentes et posa ses lèvres contre celle du Trésor. Attrapant son cou et le serrant contre elle. Les mains de Sho vinrent se poser sur les hanches de la jeune fille, les attrapant fermement. Le Trésor appronfondit leur baiser, prouvant à Yuriko qu’a présent, elle n’était qu’à lui. Se détachant de son visage, il prononça ses dernière pensé, ressassant un tendre souvenir.

« Yuriko, laisse-moi juste faire battre ton cœur pendant… toute ta vie »