Devoir Commun [Ten-Takeo]

Takeo était assis sur son lit, il accordé sa guitare afin de joué une de ses composition, depuis sa conversation avec une certaine Missy, il avait recommencé à en jouer. Mais aujourd’hui il jouer parce qu’il était nerveux.
Et la raison de sa nervosité il la devait à son professeur d’histoire Takeda sensei, celle-ci avait eu la merveilleuse idée de leurs donnée des devoir commun, en groupe de deux. Elle leurs avait même pas laissé le choix d’être seul, ce qu’il aurait préférer.
Il soupira en se rappelant le moment ou on lui avait donnait un partenaire prédéfini par l’enseignante.

Flash Back :

-Alors voilà j’ai décidé que pour le cours de la semaine prochaine, vous me ferez un exposer par groupe de deux. Je choisi qui est avec qui et je donne le sujet. Pour éviter qu’on se retrouve entre ami et qu’à la fin il n’y ait rien de potable.

Takeo qui avait les yeux fixé sur la fenêtre se retourna vivement pour fixé cette fois Takeda sensei. Il avait bien entendue des groupes pour un exposer. L’exposer sa allait mais le partenaire la c’était une autre histoire. Il n’aimait vraiment pas l’idée de faire un truc en commun avec quelqu’un lui c’était un solitaire, il n’aimait pas la compagnie.
La prof repris en prenant une feuille sur son bureau.

-Donc les groupes… Dit-elle en énumérant qui sera avec qui.
[…]

Enfin elle dit son prénom, il se demandait bien avec qui il devrait faire cet exposer qui l’énerver déjà.

-Takeo-kun.

-Hai dit-il.

-Tu seras avec Ten-kun. Votre sujet c’est les Samouraï de l’ère Edo.

Puis elle continua en énumérant encore quelques noms.
Takeo lui était retourné à la contemplation de sa fenêtre.
A la fin des cours il attrapa le dit Ten-kun et lui dit.

-Ano, pour l’exposer si tu as rien à faire viens passer le week-end chez moi, on le termine et on en parle plus, dit-il gêner.

Il lui donna l’adresse puis lui dit.

-Samedi en début d’après midi si tu es libre. Termina-t-il en s’éloignant du garçon.

Il rentra chez lui, et dit à la gouvernante que samedi il allait peut-être recevoir de la visite et que si jamais il venait, ils devaient le conduire à sa chambre. Izumu-san avait parût surprise à cette nouvelle cela faisait tellement longtemps qu’Izumu-san attendait de revoir un ami de son petit protéger qu’elle avait vu grandir avec tant de mal. Il c’était renfermer totalement sur lui-même après se terrible accident. Elle s’inquiétait tellement pour lui qu’elle avait hâte de voir cet « ami ».
Takeo aimait beaucoup Izumu-san, il avait grandit entre ses mains.
Il lui restait plus qu’à attendre samedi et voir si ce Ten allait venir oui ou non.

Fin du Flash Back.

Voilà pourquoi il était nerveux, sa faisait plus de deux ans qu’il n’avait pas invité quelqu’un ce devoir commun risquait d’être fort intéressant… Et surtout très éprouvant pour lui. Il ne savait vraiment pas comment ce comporter face à ce genre de situation. Ce Ten il ne le connaissait vraiment pas et sa l’effrayer avant même de commencer.
Il reprit sa guitare et commença à joué son morceau préférer c’était lui qui l’avait composé il avait appelé « Half Down ».

-Kotoba ni shitara ato wa kasunde iku ki ga shiteta
Si j'en parle, j'ai l'impression que ça sera flou après
Koushite utatteiru ima hiniku na mono dane
Alors maintenant je le chante, c'est plutôt ironique non ?
Nanimo nakatta jidai to nanimokamo ga atta jidai ga
L'époque où il n'y avait rien et celle où il y avait tout sont
Yasashii kaze no you ni
Pour moi comme un doux vent

Futari sugoshita hibi dake ga ima mo kagayaita mama
Seuls ces jours que nous avons passés ensemble brillent encore maintenant
Tojikometa omoi ga tokiori kono mune ni uzumakunda
Les pensées que j'avais emprisonnées tournoient parfois dans mon cœur
Chiisa na kibou mo yuuki mo kizu wo tataeaeta nara
Les petits espoirs et le courage et les blessures, si nous les célébrions
Ima demo soba de waratteta kana
Je me demande si tu serais encore aujourd'hui en train de rire à mes côtés

Aikawarazu boku wa risou bakari tana ni narabete wa
Comme d'habitude, j'expose des idéaux sur des étagères
Aikawarazu kimi ni tsugou no ii yume bakari mite na
Comme d'habitude tu rêves simplement d'occasions
Itsuka wa kako mo ima mo mirai mo
Un jour, si je pense au passé et au présent et au futur
Itoshiku omoeru nara
Comme quelque chose de précieux
Doko made mo yukou boku no mama de
Je peux aller n'importe où, tel que je suis.

Termina-t-il en soupirant.

Ten s’habilla lentement dans la salle de bain. Il croisa son reflet dans le miroir. On était samedi, et il était là, debout tôt. Au lieu de rester tranquillement chez lui, il devait sortir. Et pas pour le plaisir. Le jeune homme soupira. Faire ses devoirs un samedi … Pas cool.

Il sortit prestement de la salle de bain et se dirigea vers les escaliers. Il prêta l’oreille mais n’entendit rien. Hum, valait mieux ne pas la réveiller. Ten haussa les épaules. Tant pis. De toute façon, il l’avait prévenu qu’il sortait aujourd’hui. En descendant les marches, il se demanda s’il devait apporter quelque chose. Se pointer comme ça chez les gens, sans rien amener. Oui, mais quoi ? A manger ? Il devait sûrement y en avoir suffisamment. Alors quoi ? Rien d’autre ne lui venait en tête et cela l’irritait. Ten se frotta la tête, forçant une idée à émerger. Mais rien … Nouveau haussement d’épaules. Tant pis, il fera sans.

Le fils du Ministre ouvrit la porte et respira l’air frais. Cela ne faisait que quelques jours qu’il pouvait reprendre le cours naturel des cours. Ses séquelles lui faisaient moins mal, elles étaient moins gênantes et il pouvait marcher normalement, sans ressentir une vive douleur lui couper le souffle. Par contre, le sport lui était interdit pendant un long moment. A cette pensée, il serra les poings. De rage, il cogna un poteau.

Ten ne savait pas trop quoi faire. Mais une chose était sûre : il n’allait pas se contenter de rester tranquillement à sa place, sans rien faire. Il ne détestait pas l’autorité qu’exerçaient ces six garçons, qu’il appelait très souvent « des caprices ». Mais il ne pouvait pas supporter d’être ainsi injustement puni pour une chose qui ne les regardait même pas tous. Yutaro Okamoto. Son poing se serra encore plus, blanchissant ses phalanges. Ce petit prétentieux qui se croyait tout permis. Ten n’était pas du genre à créer des problèmes, à faire des scandales. Mais cette fois-ci, il ne laisserait passer.

Il avançait toujours droit devant lui. Plus il repensait à cette histoire, et moins il comprenait. Okamoto, le terrible Trésor, sentait-il en Ten une véritable menace au point de vouloir … L’éliminer ? Le jeune homme déglutit. Qu’en même, en arriver à de telles extrémités, pour … un pote ? Il fronça les sourcils, ne comprenant plus rien à rien.

Le fils du Ministre arriva bientôt devant un grand portail. Il n’avait plus trop l’habitude des grandes demeures, lui-même vivant dans un appartement. Il n’eut pas besoin de sonner qu’un domestique se précipita à sa rencontre. Ten annonça l’objet de sa venue, et on le fit entrer. Une fois dans la demeure, un autre – ou plutôt une autre – domestique prit la charge du jeune homme. Décidément, il n’avait plus vraiment l’habitude de tout ce protocole un peu ennuyeux.

On le fit monter, et il en profita pour jeter un coup d’œil à l’immobilier. Ce qui est bien avec les grandes demeures, c’est qu’elles sont toujours décorées de façon diverses, selon les pièces et les goûts de chacun. Le son d’une guitare lui parvint rapidement à l’oreille. Et plus on l’entrainait dans ce couloir sans fin, plus la mélodie se faisait forte. Il en conclut que ce devait venir de la chambre de son compagnon de devoir : Takeo Tsukasa. Ses dires ne tardèrent pas à se fonder. Bientôt, il percevait aussi le son de sa voix.

Un instant, le jeune homme se demanda s’il pouvait ainsi entrer dans l’intimité de son hôte. Sans doute ne préférait-il pas qu’on l’entende. Il ne connaissait pas grand-chose sur Tsukasa. Ce garçon était replié sur lui-même, ne parlant pas beaucoup. Ten n’arrivait pas à aller parler spontanément à ce garçon étrange. Etrange ? Disons plutôt qu’au contraire des autres élèves de Tokyo Gakuen, Tsukasa évitait de jouer cette grande comédie à laquelle participaient joyeusement les élèves.

« Ano … Ne croyez-vous pas que je vais le déranger ?
Ne vous en faites pas. Je vous en prie … »

La femme le laissa passer et Ten s’engagea seul dans la chambre de Tsukasa. Il n’entendit que les deux dernières phrases de la mélodie du jeune homme. Mais de ce qu’il perçu, il sentit la tristesse de la mélodie et du chanteur … Tsukasa soupira et il crut bon de se manifester. Aussi, il toussa légèrement. Se tenant dans l’embrasure de la porte, il n’osait pas trop bouger, gêné d’avoir ainsi perturbé les inflexions mélancoliques de son hôte.

« Excuse-moi de te déranger. Mais on m’a dit que je pouvais rentrer. Alors … »

Face au comportement muet de son « interlocuteur », il était encore plus embêté. Il ne savait pas trop comment se comporter. Puis il se dit qu’après tout, il n’était pas là pour lui faire du mal ou poser des questions sur sa vie. Un devoir suffisait amplement. Le jeune homme s’avança plus franchement dans la chambre et prit place sur la chaise du bureau, au fond de la pièce. Posant son sac sur le sol, il farfouilla à la recherche de son livre, de feuilles, et d’un stylo. Tout en farfouillant, Ten se dit qu’un peu de conversation préliminaires ne ferait pas de mal non plus :

« Je sais pas toi, mais moi j’aime bien le sujet qu’elle nous a donné, Takeda sensei. »

Ten releva la tête, armé de toutes ses affaires. Tsukasa n’avait pas bougé. Il souffla, relevant une de ses mèches, qui lui venait dans les yeux. La journée promettait d’être longue. Le jeune homme pivota sur sa chaise et se mit face au bureau. Comme il s’y était attendu, il était immense. On avait la place d’étendre ses jambes, de placer deux ordinateurs portables, et d’avoir encore de la place pour écrire. Intéressant. S’étirant, il fit craquer ses doigts.

« Bon, et si on commençait Tsukasa ? Par quoi on démarre ? »

Après avoir gratté les dernières notes de la mélodie, il soupira. Il posa sa guitare a côté du lit, quand il entendit un léger toussotement derrière lui, en fin de compte il était venu. Sur le coup Takeo se demanda depuis combien de temps le jeune homme était là, il ne l’avait pas entendu entrer tellement il était absorber dans sa chanson.

Il se retourna, et observa le jeune homme qui précisons n’avait pas l’air très à l’aise, il n’oser pas entrer dans la chambre, Takeo de son côté n’était pas très à l’aise non plus, il n’était plus habitué à recevoir des personnes chez lui encore moins dans sa chambre. Ten prit la parole, et Takeo compris qu’il pensait l’avoir déranger, sauf que Ten ne s’était pas inviter tout seul, il avait prit l’initiative de le faire venir chez lui pour boucler le sujet d’histoire, il trouvait le sujet de son goût, il adorer l’histoire autant qu’il aimait la musique, lire, écrire, prendre des photos et filmer d’ailleurs le bazar dans sa chambre était principalement dut à ses centres d’intérêt, tout trainer sur son bureau, et la porte de sa chambre rouge ou il développer ses photos était grande ouverte.

« Excuse-moi de te déranger. Mais on m’a dit que je pouvais rentrer. Alors … »

Takeo ne sut pas quoi dire, en faite il se sentait gêner, il n’était pas sûr de savoir comment s’occupé de son « invité », Ten semblait attendre une réponse mais Takeo lui continué de l’observer. Il suivit son camarade de classe se diriger vers son bureau et s’installé sur sa chaise, puis il le vit fourrer son nez dans son sac pour en sortir de quoi travailler, puis il relava sa tête en soufflant sur une mèche de cheveux qui lui cacher le visage :

« Je sais pas toi, mais moi j’aime bien le sujet qu’elle nous a donné, Takeda sensei. »

Takeo ne répondit toujours pas, lui aussi aimer bien le sujet des samouraïs de l’ère Edo, mais voilà sa timidité peser plus lourd sur sa balance… Il vit Ten lui tourner le dos et jeté un œil sur son énorme bureau en désordre total, enfin Izumu-san le disait mais lui il trouvait son bureau comme il faut, il se qualifié plus de bordélique ordonné, même si son bordel était juste sur son bureau le reste de sa chambre ranger avec minutie.
Il observa le jeune homme s’étirait puis craqué ses doigts avant de reprendre la parole.

« Bon, et si on commençait Tsubasa ? Par quoi on démarre ? »

Takeo continua de l’observer encore quelques instants, il devait se reprendre et terminer ce devoir, en plus qu’il n’aimer pas avoir de mauvaise notes. Alors il prit une grande inspiration et ouvrit la bouche, même si il avait du mal a parler et qu’il avait une voix mal assuré.

« Ano… Je pense que l’on devrait commencer par introduire l’ère Edo, puis une transition vers les samouraïs de cette époque, et les changements qu’il c’est opéré en eux à cette même époque et puis on cite quelques uns des grands samouraïs connues en donnant une petite biographie et on conclue avec la fin de l’ère Edo et une ouverture vers le futur. En fin si sa te convient bien sûr. » Ajouta-t-il encore plus gêner qu’avant.

Pour se calmer il alla prendre une chaise et vient s’asseoir prés du jeune homme il ramassa un peu son bazar et s’en faire exprès il fit tomber une photo de lui quand il était petit à peu prés dans les 10 ans, avec sa grande sœur de 6 ans son ainée. Il avait son masque protecteur et porté un bonnet du aux chutes de cheveux, de plus à ce moment là il était très faible et maigre. Sa sœur à ce moment là était la seule à le faire sourire et on pouvait deviner ce sourire derrière ce masque. La photo alla tomber devant Ten.

« Désolé, je vais ranger un peu... » Dit-il en tendant sa main vers la photo que le jeune homme avait prit entre ses doigts.

Tsubasa continuait de l’étudier ce qui le gênait un peu. Ten se tortilla sur sa chaise. Le silence s’installait tandis que le jeune homme cherchait quoi dire. D’habitude, il n’était pas du genre à se sentir gêné ou quoi. Mais l’attitude réservée de son hôte l’intimidait.

« Ano… Je pense que l’on devrait commencer par introduire l’ère Edo, puis une transition vers les samouraïs de cette époque, et les changements qu’il c’est opéré en eux à cette même époque et puis on cite quelques uns des grands samouraïs connues en donnant une petite biographie et on conclue avec la fin de l’ère Edo et une ouverture vers le futur. En fin si sa te convient bien sûr. »

Il avait plutôt l’air de savoir de quoi il parlait, alors le jeune homme le laissa faire. Il se contenta d’acquiescer timidement. Vraiment étrange l’atmosphère. Tsubasa s’agita soudainement autour de lui. Prenant une chaise, il s’activa à faire du rangement. Mais quelque chose tomba aux pieds de Ten. Baissant les yeux, il vit qu’il s’agissait d’une photo ; curieux, il l’attrapa avant son hôte.

Une photo ancienne visiblement, car il cru reconnaître Tsubasa enfant. Bonnet sur la tête, il paraissait faiblard. Le bref sourire qui était apparu sur le visage de Ten disparut soudainement. Il commença à se dire qu’il n’avait pas à étudier la photo comme cela. Mais … trop tard. Avant de rendre la photo, autre chose le frappa.

« Ne… La fille qui est sur la photo… Mhh elle me rappelle quelqu’un. »

Le jeune homme lui retira la photo des mains et l’observa un instant. Sur le coup, Ten se demanda s’il ne s’était pas montré légèrement impoli en mettant son nez dans les affaires de son hôte. Mais bon, la photo était tombée juste sous ses pieds… Ce n’était tout de même pas de sa faute si cela était arrivé. D’un haussement d’épaule, il dégagea toute gêne de son visage et fixa à son tour les yeux de Tsubasa, attendant une réponse.

Vu qu’il n’avait pas l’air de vouloir répondre, il se redressa et se mit à le contourner et ramassa quelques cahiers tombés négligemment du bureau. Il ne voulait pas insister …

« Parce qu’elle me dit vraiment quelque chose mais je n’arrive pas à la situer. Peut-être que je l’ai croisé quelque part … Il reposa un instant ses yeux dans les siens, puis sourit. Ou alors j’ai rêvé d’elle. »

Ten se mit à rire. Oui, l’atmosphère le mettait mal à l’aise.

Takeo, plus que gêner c’était mit à faire du rangement sans faire attention à son inviter et par la même il fit tomber la photo de lui et de sa sœur qu’ils avaient prit à l’hôpital, pendant sa maladie juste devant Ten. Cette photo lui rappelait la période de sa vie dont il aimait le moins parler, mais cette photo particulièrement il l’aimé car dessus il y avait la personne qu’il aimé par-dessous tout ; sa grande sœur. Elle était la seule à le comprendre vraiment, la seule à le soutenir vraiment, la seule à toujours être là pour lui. Ce n’était pas seulement sa sœur, c’était aussi sa meilleure amie, sa confidente, la seule à tout savoir sur lui absolument tout.

Quand il voulut reprendre la dite photo Ten l’avait déjà en main. Petit à petit le sourire qu’il avait aux lèvres disparut et la gêne prit la place de ce dernier. De plus, quand il voulut lui reprendre la photo Ten la garda encore un moment en l’observant l’expression de son visage se changent petit à petit en surprise et il dit :

« Ne… La fille qui est sur la photo… Mhh elle me rappelle quelqu’un.»

Takeo un peu surprit lui reprit la photo un peu plus sèchement qu’il ne l’aurait voulut et la regarda un moment, la fille sur cette photo c’était sa sœur comment elle pouvait rappeler quelqu’un à Ten ? Puis il sentit son camarade de classe s’agiter il leva les yeux et tomba sur celle de Ten qui le fixer les interrogations se lisant sur son visage.

Ce dernier attendait une réponse c’était claire, mais Takeo ne savait plus quoi faire, il était mal à l’aise déjà peu habituer à la compagnie humaine. Puis il vit Ten se redressé et aller ramasser quelques affaires pour l’aider surement, ou peut-être était-ce pour montré à Takeo qu’il ne voulait pas insister. Takeo se demandait toujours s’il devait lui dire que c’était sa sœur enfin sa grande sœur, peut-être était-ce un ami à elle qui sait.

« Parce qu’elle me dit vraiment quelque chose mais je n’arrive pas à la situer. Peut-être que je l’ai croisé quelque part … Il reposa un instant ses yeux dans les siens, puis sourit. Ou alors j’ai rêvé d’elle. » Avait fini Ten.

Les mots de Ten fit sourire Takeo « rêver d’elle » et le disait à lui au frère de cette fille dont il se souvenait pas. Takeo décida de lui répondre après tout il avait vraiment l’air de la connaitre. Et il ne voyait pas de mal à lui dire qui elle était la seule chose dont il avait peur c’était que Ten se met à lui posé des questions sur l’identité du petit garçon à côté de la jeune fille sur la photo. Il ne tenait pas particulièrement que l’on sache qu’avait était son enfance à jongler entre le manoir et l’hôpital… Bref une période da sa vie qu’il n’aimer pas particulièrement.

Il continua de regarder Ten encore un moment puis soupira et lui rendit la photo avec un petit sourire.

« La fille là c’est Pelin (péline)… c’est la fille que j’aime par-dessus tout dans ce monde. »

Il regarda son inviter encore un peu plus insistant.

« …C’est ma Nee-chan. » fini-t-il.

Puis il reprit en se passant une main dans ses cheveux.

« Il se peut que tu la connaisses… c’est une ancienne de Tokyo Gakuen et puis est toujours très active auprès de l’école. »

Maintenant il était curieux de savoir comment Ten connaissait sa sœur ??

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