Toucher le scandale du doigt [HITOSHI et MEGUMI]

Megumi se réveilla de bonne humeur bizarrement, elle était de bonne humeur, alors qu’elle se levait toujours du pied gauche le matin. Elle descendit les escaliers, son père était déjà installé dans le salon, un café dans la main et entrain de lire un journal.

-A ma fille tu es réveillée, il y a tout ce que tu aimes sur la table.

La jeune fille regarda son père, puis, elle tourna la tête et se dirigea vers la cuisine.

-Oh, ma chérie ne fait pas l’enfant !

Megumi se retourna, toisa son père et s’en alla dans la cuisine. La jeune fille avait cherché plusieurs fois une réponse à sa question, pourquoi son père avait-il était aussi froid avec Ten et quand elle eut reçu sa réponse, elle s’était mise dans une colère noir et après ça elle ne lui avait pas adressé la parole.

La jeune fille descendit de son appartement, se dirigea dans se voiture et arriva devant l’école. Elle se demandait toujours pourquoi est-ce qu’elle venait le matin à cette heure ci, ilsavaient cour de français et ayant vécu en France elle n’avait pas besoin d’y aller.
Elle entra dans le lycée, monta les escaliers et se retrouva dans l’étage des troisième années. Plusieurs jeunes filles la regardaient avec des têtes qui voulaient dire bien grand-chose sauf de l’affection pour elle.
Puis elle vit Ten, ils commencèrent à discuter ensemble et arrivaient devant la salle de classe, un garçon commença à discuter avec lui, elle rentra donc dans la classe avant lui.
Il y avait un bruit infernale dans la salle de clase, quand la jeune fille rentra tout le monde se retourna vers elle avec des têtes à faire peur. La jeune fille ne comprenant pas pour quoi s’énerva, elle n’aimait pas qu’on la regarde ainsi.

-Qu’est ce qu’il y a encore ? Qu’est ce que j’ai fais de mal ?

Elle vit alors Histoshi qui faisait une drôle de tête en direction du tableau. Elle se retourna et quand elle vit ce qu’il y avait marqué elle se figea sur place.

« La naissance de Ten Kosuke est tâchée du péché de la coupable passion »

La jeune fille se demanda si ce truc était une blague. Qu’est ce que cela signifiait ?
Hitoshi Fukada avait l’air de savoir de quoi il était question.
Puis, Ten entra dans la classe, elle se retourna sur lui espèrent qu’il ait une réponse sur ce qui se passait. Trop occupée à se demander qu’est ce que tout cela signifiait, elle ne vit même pas ce qui était écrit sur la table de son ami.
«Menteur, tu n’es pas celui que tu prétends être »
Mais qu’est ce que tout cela cachait et qui avait fait ça ?
Megumi se posait tant de questions, dont seule une personne pouvait lui donner les réponses qu'elle attendait.

Dans le silznce de mort qui s'imposait soudain dans la classe, Ten entendit la voix inquiète de son ami lui parlait. 

"- Em ... Ten. Si t'as une idée du reponsable de cette blague stupide, tu le le dis."

Blague ? Ten fronça les sourcils, la tête toujours baissée. Ça n'avait rien d'une blague. Quelqu'un connaissait son terrible secret et à moins qu'il ne trouve vite fait qui était le coupable, il allait le révéler dans tout Tokyo Gakuen. 

Il leva soudain la tête vers son meilleur ami. Mais oui. Toshi lui suggérait une diversion en attendant de coincer l'enflure.

Plus que tous les regards qui se posaient sur lui, il sentait celui, plus intense, celui de Megumi. Elle était inquiète. Déjà qu'elle n'adressait plus la parole à son père à cause de lui. Il manquait plus que ça. 

Le jeune homme fixait toujours son meilleur ami, puisant une quelconque force dans ses yeux. Il serra les poings et se mit en mode furax. Il pivota sur lui-même, face au tableau. Hitoshi avaut raison, valait mieux faire passer l'incident pour une blague. Il s'avança vers le tableau. Il sortit son téléphone et prit une photo de l'inscription maudite. Puis, il s'entreprit à effacer le tableau dans un mouvement de rage noir. Il était capable du pire dans ses moments. 

Une fous fait, il fit face à la classe. Son regard était haineux. Il balaya la salle du regard, évitant ses deux amis. Il cracha enfin :

"- Si je retrouve l'enflure qui m'a provoqué, il le payera cher. Alors, si quelqu'un sait quoique ce soit, il a intérêt à s'exprimer."

Toute la classe se tut, paniqué. Ten n'avait pas l'habitude de se comporter ainsi. 

Soudain, un se hasarda, timidement :

[b]"- Et si cette personne était l'un de tes proches ?"[b]

Qui désignait-il comme ça ? Il s'apprêtait à répliquer, quand soudain ...