Vive le beau temps... [Takeo] [Terminé]

"Bip Bip Bip".

Ayumu dégagea difficilement son bras de sous sa couverture et chercha à tâtons l'interrupteur de son réveil. 7h30. Si une chose était sûr, c'est qu'elle n'était pas du matin. D'autant plus que ce jour là, il faisait un froid de canard. Bien que maintenant réveillée pour de bon, elle se laissa trainasser dans son lit, au chaud, pendant une bonnes dizaine de minutes. Enfin, elle daigna ouvrir les yeux et, grelottante, se leva de son lit. Comme à son habitude, elle alla se laver dans la salle de bain puis se dirigea dans son dressing. Une pièce à lui tout seul, bien évidemment, et de la taille d'un petit appartement. Rien n'était laissé au hasard : en bonne perfectionniste, elle avait triée tout ce qui s'y trouvaient par nature, saison et couleur. Cependant, le choix d'aujourd'hui n'était pas très compliqué. Elle saisit nonchalamment son uniforme et une nouvelle cravate qu'elle avait terminé de coudre la veille.
Une fois habillée, sa baguette bien en place dans ses cheveux et maquillée, elle descendit les nombreuses marches de l'escalier central et se dirigea directement dans la cuisine afin de grignoter quelque chose dans le frigo avant de se rendre au lycée. Elle s'arrêta net dans l'embrasure de la porte. Son "beau-père" était là, entrain de se préparer son petit déjeuner.

*C'est vrai que le cuisinier est en congé aujourd'hui, mince ! *

Tout en essayant de faire le moins de mouvement possible, la lycéenne entreprit de se retourner et de s'en aller sans qu'il eut remarquer sa présence. La première partie enfin exécuté, elle entendit derrière elle :

"_Bonjour"

Ayumu lâcha un soupir à peine audible, puis, se retournant, en un sourire forcé, répondit de même. Peu de choses l'énervait plus que d'être obligé de jouer l'hypocrite de la sorte. Alors qu'elle essayait vainement d'oublier qu'ils vivaient sous le même toit, il fallait qu'il lui rappelle sa présence. De plus, ce n'était pour lui qu'un "bonjour" pour pouvoir ensuite l'ignorer, comme il le faisait si bien. Pourquoi ferait-elle alors des efforts ?

*Bon tourne la page, t'as l'habitude non ?*

Elle se retourna sans un mot et claqua la porte d'entrée quelques peu violemment. Avec tout ça, elle n'avait rien mangé. Sur le chemin du lycée, elle s'arrêta dans une pâtisserie, toute gourmande qu'elle était, puis s'arrêta sur un banc afin de déguster tranquillement son gâteau à la praline. Rien que le fait qu'il soit rose l'amusait. Une fois la dernière miette dans sa bouche, elle reprit sa route. Dans sa précipitation, elle n'avait même pas prit la peine de demander à son chauffeur de l'accompagner. De toute façon, ça ne la dérangeait pas de faire un petit peu d'exercice. Néanmoins, il y avait une chose qu'elle n'avait pas prévu. Elle sentit sur sa joue une petite goutte d'eau, puis une autre, plus volumineuse cette fois, sur l'autre. Assez vite, d'autres de leurs consœurs les rejoignirent et une pluie battante se déchaina. N'ayant pas de parapluie sous la main, la jeune fille se mit à courir. Elle n'était plus très loin de TokyoGakuen et elle était sûr de pouvoir tenir la cadence.

C'est donc trempée jusqu'aux os que l'adolescente se retrouva dans le couloir qui menait à la salle du club de dessin/peinture. Ses cheveux gouttaient sans retenu et elle se réjouit d'avoir une veste par dessus sa chemise blanche à travers laquelle on pourrait sans doute tout voir. Cependant, elle aussi dégoulinait et étaient collés à sa jupe qui se joignait à son délire. Seuls ses pieds étaient au sec (ayant changée de chaussures à l'entrée du lycée) même si ses chaussettes, remontant jusqu'au genoux, avaient elles aussi pas mal reçu.

*Satané pluie, comme par hasard le jour où j'ai pas pris mon parapluie !*

Sans un regard autour d'elle, la tête baissée, elle entra dans la salle du club, déposa son sac trempé sur la seule table de libre (les autres servant de supports de séchage pour les œuvres d'autres élèves) et s'assit sur une chaise. Une moue de contrariété sur les lèvres, elle scruta enfin la salle dans son ensemble. C'est à ce moment là qu'elle le vit. En face d'elle, un garçon, aux cheveux noir de jais, tel un corbeau, était penché sur sa feuille. Il avait l'air extrêmement concentré. Comment avait-elle fait pour ne pas le remarquer ? En tout cas, lui avait dû la voir, bourrin comme elle s'était installée ! Il était plutôt beau, mais semblait aussi assez refermé sur lui-même. Elle hésita à lui adresser la parole, elle ne voulait pas le déranger. Elle-même détestait ça, lorsqu'elle était en pleine créativité. Elle posa ses bras sur la table et bien évidemment, y laissa une trainée d'eau montreuse. Désespérée, elle lâcha un soupir et fouilla dans son sac à la recherche d'un mouchoir avec lequel elle pourrait essuyer ses cochonneries.

Son réveil sonné déjà depuis 10 minutes, mais quitté la chaleur presque réconfortante de son lit, il trouvait que c’était une très mauvaise idée.
Jusqu’à ce que l’on vienne toquer à sa porte ; c’était sa mère.

-Ta-kun c’est l’heure d’aller au lycée.

Il soupira, et éteignit son réveil sans répondre à sa mère. Puis il se leva pour aller prendre sa douche. Il savait que sa mère était repartie quand elle avait entendu qu’il avait éteint le réveil. Il enfila son uniforme prit ses affaires et se dirigea directement vers la sortie. Il n’avait pas spécialement envie de croiser ses parents si tôt le matin et gâcher sa journée. Sur le chemin du lycée il s’acheta de quoi manger vue qu’il n’avait pas prit la peine de le faire chez lui.

Après avoir changé ses chaussures il alla dans une des salles de la zone arts. Il était pratiquement sûr qu’à cette heure matinale il n’y avait jamais personne, l’endroit idéal pour commencer la journée dans le calme.

Comme prévus la salle était déserte il alla se poser sur une chaise en faisant attention à ne pas endommager les travaux des autres élèves.

Il sortit de son sac ses photos et quelques feuilles vierges, il voulait écrire. Takeo observa ses photos les détaillant d’un œil expert et en laissant son imagination le conduire à l’avant à l’après au présent de ces images figer sur papier. Il ferma les yeux en penchant sa tête en avant son stylo à la main. Il voulait écrire une histoire magique aujourd’hui, une histoire ou les gens était heureux.
Il réfléchissait dans cette position depuis maintenant plusieurs minutes quand on ouvrit la porte dans un grand fracas. Il ouvrit les yeux furieux contre la personne qui venait de lui couper le pond sous les pieds. Il jeta un coup d’œil et vit que c’était une autre élèves du lycée il ne la connaissait pas vraiment mais il savait une chose elle avait le sens de la mode, elle était tremper et elle était super bruyante sans plus il retourna a l’observation de ses photo.
Mais avant de replonger dans sa réflexion et sans un regard vers elle, il dit.

-Il y a des serviettes dans l’armoire du fond si tune veux pas attraper froid.

Alors qu'elle essayait de ne rien toucher de plus tout en cherchant de quoi essuyer la table, elle entendit le jeune homme lâcher :

"-Il y a des serviettes dans l’armoire du fond si tu ne veux pas attraper froid. "

Il ne lui avait même pas lancé un regard. Elle se retourna vers lui. Il s'était replongé sur ses photos et sa feuille et agissait comme s'il n'avait rien dit. Un peu déboussolé, elle se dirigea vers l'armoire qu'il lui avait indiqué et saisit une des serviettes qui trônait à l'intérieur. Elle rejoint la table qu'elle avait sali et se mit à éponger l'eau. Tout en faisant cela, elle commença à fixer le lycéen. Il avait un air vraiment détaché et semblait avoir complètement oublié sa présence. Une fois la table sèche, elle entreprit de se sécher les cheveux. Ils la gênaient vraiment : ils gouttaient sur ses yeux et en plus ils étaient collés à son visage, c'était vraiment déplaisant. Elle jeta un regard au travail du garçon. Il y avait vraiment de très jolies photos. Les avaient-il prise lui-même ? Elle remarqua qu'il écrivait également des notes sur une feuille.

*Qu'est-ce qu'il est entrain de faire ? *

La jeune fille était très intriguée mais n'osait pas lui demander. Elle finit de se sécher les cheveux (enfin à peu près, ils n'étaient jamais réellement sec) et étendit la serviette sur une chaise libre disposé derrière le jeune homme. En retournant s'assoir, sa curiosité pris le dessus et elle ne put s'empêcher de jeter un œil par dessus l'épaule de son camarade. Elle restait tout de même distante, elle se trouvait à environ deux mètres dans son dos. Elle ne voyait pas très bien : le lycéen lui cachait la vue et la seule chose qu'elle distinguait nettement était son visage concentré. Elle voulait se rapprocher un peu plus, mais elle n'osait pas aller jusque là. Regarder par dessus son épaule n'était pas quelque chose qu'elle était sensé avoir le droit de faire.

*Vas-y, t'es plus à ça près, de toute façon il t'ignore complètement*

Alors, elle s'exécuta. Elle ne fit qu'un pas en avant, histoire de se rapprocher à un mètre de lui. Mais elle n'avait pas remarqué le sac du lycéen posé par terre et trébucha énergiquement dessus. Elle se retrouva au sol en un rien de temps et heurta au passage le coin de la table où était assis le propriétaire de l'objet. Honteuse, elle releva la tête vers lui et sourit légèrement.

*Oups !*

-Il y a des serviettes dans l’armoire du fond si tu ne veux pas attraper froid. Dit-il sans même lancer un regard à la jeune fille.

Il l’entendit bouger dans la salle, aller à l’armoire prendre une serviette refermer l’armoire. Il l’écouta revenir éponger l’eau une table se sécher. C'est-à-dire qu’elle était vraiment tremper.

Il écouter. Puis il retourna à ces occupations regardant les photos en face de lui qui représenter un chat qui étais en train de dormir sur le dos d’un chien, il avait pris deux semaines auparavant. Il était tombé dessus par hasard et avait trouvé la scène très drôle et surtout mignonne.

Il aimait écrire l’histoire de ces photos tellement qu’il en écrivait pour chacune d’elle, ce laissant emporter par son imagination c’était vraiment ce qu’il aimait faire écrire, le cinéma, filmer et chanter, toujours a rêvé d’autres choses.

Trop concentrer dans sa tâche il ne vit pas la jeune fille s’approcher derrière lui. Surtout qu’il n’avait pas envie d’entamer une conversation avec elle ni avec personne d’ailleurs et cela le rendait mal à l’aise de savoir qu’elle était derrière lui. Il ne savait pas ce qu’elle faisait, si elle le regarder ou non, si elle était prés ou loin de lui, il ne le savait pas et comme on dit les Hommes on peur de ce qu’ils ne savent pas. Et pourtant il ne voulait pas jeter un coup d’œil même si ce n’était pas l’envie qui lui manquer. S’il regarder cela signifierait qu’il se soucie d’elle de sa présence. Qu’il donne de l’intérêt à sa personne. Et ça ce n’était même pas imaginable pour lui. Il était perturber, son cerveau lui disait de regarder juste pour la situer dans la salle et son esprit le contraire ; c’était son image après tout et il l’avait choisit. Il soupira une nouvelle fois avant de poser une autre photo devant lui, un coucher de soleil cette fois.

Donc il ne la vit ni l’entendit s’approcher doucement derrière lui, pencher en avant.
Puis il entendit de nouveau un grand fracas, il regarda à droite à gauche pour voir ce qui c’était encore passer. Et il la vit par terre à coté de lui sur ce qui semblait être son sac. Il se tourna un peu sur sa chaise puis il soupira à nouveau.

-Tu n’a vraiment pas de chance. Dit-il en lui tendant la main pour qu’elle puisse ce relevé.

En faite il penser surtout à récupérer son sac, son appareil photo était dedans ainsi que d’autres choses fragile. Et vue que c’était un appareil de professionnel il avait un prix conséquent.
Et il y tenait à cette appareil c’était un cadeau de son ami pour son anniversaire et il voulait le garder toute sa vie en bonne état si possible.
Il continuait de la fixé la main tendu il attendait qu’elle réagisse peut-être était-elle encore étourdit par sa chute.

-Si tu es vraiment décider à rester par terre reste mais est-ce que je peux récupérer mon sac ? Parce qu’il y a des objets fragiles à l’intérieur. Ce n’est pas que j’accorde de l’importance au matériel mais il y a des objets auquel on tien à cause de leur significations, les souvenirs qui s’y rattache. Alors s’il te plait bouge-toi un peu. Dit-il la main toujours tendu.

Il avait dit ça comme ça son intention n’était nullement de la blesser mais comme toujours cette personnalité qu’il c’était crée refaisait surface. Ce qui ne le déranger pas vraiment.

La jeune fille avait vraiment la honte. Elle qui essayait de ne pas le déranger, elle s'était lamentablement faite remarquer. En plus, ce n'était pas dans les meilleures conditions, elle avait un don pour passer pour une imbécile. Elle s'était vraiment fait mal et en plus, elle était assise directement sur le sac qui l'avait fait tombée. Elle espéra que rien de cassable ne se trouvait à l'intérieur. Elle vit le jeune homme regarder à droite et à gauche puis, se tournant sur sa chaise, poser les yeux sur elle. Il lâcha un gros soupir. Elle n'arrivait pas à traduire l'émotion qui s'affichait sur son visage froid.
Ayumu s'attendait à recevoir des réflexions du genre "t'es vraiment pas douée" ou encore "mais c'est pas possible, t'es vraiment un boulet !". Elle fut donc extrêmement surprise lorsqu'elle vit le jeune homme tendre sa main vers elle et dire :

"-Tu n’a vraiment pas de chance"

Ça, pour de la chance, c'est sur que ce n'était pas aujourd'hui qu'elle allait gagner au loto. Elle devait avoir l'air fine. Déjà qu'elle était rentré super discrètement et qu'elle avait carrément trempé la table, voilà qu'elle s'attaquait également à détruire son sac. Malgré elle, certes, mais quand même, elle avait pas dû lui faire une super impression. La lycéenne espérait qu'il ne s'arrêterait pas à ce détail et qu'il lui laisserait une autre chance, mais vu comme il l'avait accueilli, elle n'en était pas persuadée. Ayumu grimaça, elle n'était pas du tout à l'aise dans cette atmosphère. Le garçon la fixait et cela lui filait les chocottes. Il avait un regard vraiment noir, ces yeux la transperçaient. Paradoxalement, cela l'attirait également, pour une raison des plus obscure. D'apparence, il semblait froid, mais sa main toujours tendue lui indiquait qu'il pouvait également se montrer gentil.

"-Si tu es vraiment décider à rester par terre reste mais est-ce que je peux récupérer mon sac ? Parce qu’il y a des objets fragiles à l’intérieur. Ce n’est pas que j’accorde de l’importance au matériel mais il y a des objets auquel on tien à cause de leur significations, les souvenirs qui s’y rattache. Alors s’il te plait bouge-toi un peu."

Dis donc, il était direct ! Mais cela ne la dérangeait pas : il valait toujours mieux avoir quelqu'un de franc en face de soit plutôt qu'un hypocrite qui sourit puis vous poignarde dans le dos. Elle comprenait très bien ce qu'il voulait dire, elle l'avait ressentit lorsqu'elle croyait avoir perdu son bracelet. La jeune fille regretta que son souhait ne se soit pas réalisé mais continua tout de même d'espérer qu'elle n'ait rien casser. Cela l'embêterait vraiment : elle pourrait très bien le lui remplacer ce n'était pas le problème, mais elle comprenait bien que les sentiments qui y étaient attachés, eux, n'auraient pas de nouvelle vie.

La première année saisit la main du garçon et se releva en essayant de ne pas plus écraser son sac. Une fois debout, elle regarda les photos. Un magnifique coucher de soleil et une autre, avec un petit chat sur le dos d'un chien, trop mignon. Elle se retourna vers celui qui l'avait aidé à se relever, afficha un sourire gênée puis s'excusa :

"_Merci beaucoup. Désolé pour tes affaires, j'espère que j'ai rien cassé..."

Ayumu aurait voulu rajouter qu'elle trouvait les photos vraiment jolies, mais elle n'osa pas, il aurait pu prendre sa comme un compliment afin qu'il ne lui crie pas dessus et ce n'est pas ce qu'elle cherchait. Elle préférait nettement qu'il lui dise la vérité. Elle ressentit une vague de chaleur dans sa main, et s'aperçut qu'elle n'avait toujours pas lâché celle du jeune homme.

-Si tu es vraiment décider à rester par terre reste mais est-ce que je peux récupérer mon sac ? Parce qu’il y a des objets fragiles à l’intérieur. Ce n’est pas que j’accorde de l’importance au matériel mais il y a des objets auquel on tien à cause de leur significations, les souvenirs qui s’y rattache. Alors s’il te plait bouge-toi un peu. Dit-il la main toujours tendu.

Il avait dit ça comme ça son intention n’était nullement de la blesser mais comme toujours cette personnalité qu’il c’était crée refaisait surface. Ce qui ne le déranger pas vraiment.
Doucement, elle lui tendit sa main pour la prendre, puis elle se releva en faisant attention au sac de Takeo. Il remarque qu’elle regardait ses photos, il se demanda comment elle les trouver mais ne voulait pas lui demander.
Puis elle se retourna vers lui et eu un sourire gêner et dit :



"_Merci beaucoup. Désolé pour tes affaires, j'espère que j'ai rien cassé..."

Pourquoi elle disait merci au juste ? Il ne savait pas. Puis il remarqua qu’il lui tenait toujours la main, il la retira un peu brusquement et pour se donner une contenance il se pencha vers son sac, le pris et commença a déballer son contenue sur la table. Dévoilant ainsi des feuilles de papier remplies de notes, d’autres rassemblait par des trombones, ses photos, il y en avait beaucoup, son appareil photo, sa musique tout et ses affaires pour les cours.
Il inspecta plus particulièrement son appareil et dès qu’il constata qu’il n’y avait pas de dégât majeur il soupira de soulagement. Puis il se tourna vers la jeune fille et dit.

-Tu n’a rien casser donc tu n’a pas à être désoler. Dit-il en rangeant ses affaires.

Puis il reprit son stylo et retourna à ses photos, mais elle l’avait déconcentré et maintenant il ne savait plus quoi écrire. Il soupira à nouveau puis demanda à la jeune fille.

-Elle te plaise ces photos ? Comment tu les trouve ? Qu’est-ce qu’elle t’évoque au juste ? Demanda-t-il sans même levait la tête.

En faite il voulait juste savoir avoir un point de vue extérieur, alors pendant qu’il y était pourquoi pas en profiter ? En plus il pensa que vue qu’elle était dans la zone arts elle devait s’y connaître. Même s’il prenait des photos pour faire passer le temps et pour avoir un support d’écriture, une base. Il trouvait que ce qu’il faisait toucher plus à l’amateur qu’autre chose. Il attendit qu’elle lui réponde en ce demandant si vraiment elle allait lui répondre.

Elle vit le jeune homme avoir un sursaut de conscience et elle sentit sa main se dérober brusquement. Il se pencha pour attrapa son sac et elle se décala pour ne pas le gêner. Il commença a le vider sur la table. Des feuilles, des photos, des crayons, ce qui ressemblaient à des feuilles de cours, enfin bref, il ressemblait un peu aussi : fourre-tout de tout et n'importe quoi. Elle remarqua également des partitions, ce qui ne l'étonna pas : il avait vraiment une tête à jouer e la guitare ou encore du piano. Enfin, il sortit un appareil photo et le garçon commença à l'inspecter. Il était vraiment très minutieux. Elle l'entendit poussa un soupir puis il lui dit:

"-Tu n’a rien casser donc tu n’a pas à être désoler."

Il commença à ranger ses affaires. Ayumu aussi était soulagée, elle aurait vraiment été embêtée de lui avoir abîmer quelque chose de si important. A en juger par toutes ces photos, il devait en prendre assez souvent. Il semblait déjà ne plus faire attention à elle. Il reprit son stylo et retourna à ses photos comme si de rien n'était.

*Wouah...Je suis facile à oublier apparemment.*

Cela la fit inévitablement penser à sa mère qui tenait également cette attitude envers elle. Si la jeune fille avait le malheur de dire quelque chose qui la contrariait, elle retournait immédiatement vaquer à ses occupations (ou bien s'en créait une) et l'effaçait immédiatement de sa mémoire. Elle aurait très bien put l'asperger de kérosène et la brûler vive à l'aide d'un briquet qu'elle n'aurait pas même daigner lui lancer un regard. Bien quelle veuille à tout prix passer au dessus, cette habitude la blessait quand même, au fond, et le jeune homme le lui rappelait. Il ne devait pas le faire exprès bien sûr, mais la jeune lycéenne ne pût s'empêcher de faire une corrélation entre les deux.

*Tu devrais le laisser tranquille, tu l'as assez embêté pour aujourd'hui tu crois pas ?*

Elle se retourna et alors qu'elle passait derrière le jeune homme pour aller récupérer son sac, celui-ci l'interpella à sa grande surprise :

"-Elle te plaise ces photos ? Comment tu les trouve ? Qu’est-ce qu’elle t’évoque au juste ? "

Il n'avait même pas relever la tête. Peu importe, elle réfléchit quand même à la réponse. Ces photos...elles les avaient trouver vraiment magnifiques, mais en même temps elle n'en avait vu que deux ! Néanmoins, elle désirait tout de même lui donner son avis, elle lui devait bien sa. De plus, si il lui demandait, c'est qu'il devait vraiment en avoir besoin... Elle se demanda si lui aussi avait besoin d'un avis extérieur sur ce qu'il faisait.
La jeune fille se retourna vers lui et observa plus attentivement les deux photos qu'elle avait vu auparavant.

"_Je les trouve vraiment magnifique. Par exemple, le coucher de soleil, j'aime beaucoup la façon dont les rayons se reflètent et les couleurs orangées...et la photo avec le petit chat sur le dos du chien, je la trouve adorable. Bizarrement, sa me rappelle moi et mon grand frère quand on était petit. Bien qu'on se chamaillait souvent il était toujours là pour m'aider et ..."

Elle se tut brusquement. Elle ne connaissait même pas son nom et elle lui parlait comme si c'était son meilleur ami. Elle était entrain de lui raconter sa vie alors que lui, ce qu'il voulait, c'était son avis sur ses photos et sûrement pas lui servir de psychiatre ! Elle s'en voulut de s'être égarer et repris.

"_Enfin bref, ce que je veux dire, c'est que pour moi sa évoque les fait qu'on a toujours besoin des autres. Désolé, sa doit pas vraiment t'aider ce que je te racontes, ne ? En tout cas, je pense que tu devrais continuer, moi je les trouve super tes photos..."

*Qu'est-ce que je raconte ?*

En faite il voulait juste savoir avoir un point de vue extérieur, alors pendant qu’il y était pourquoi pas en profiter ? En plus il pensa que vue qu’elle était dans la zone arts elle devait s’y connaître. Même s’il prenait des photos pour faire passer le temps et pour avoir un support d’écriture, une base. Il trouvait que ce qu’il faisait toucher plus à l’amateur qu’autre chose. Il attendit qu’elle lui réponde en ce demandant si vraiment elle allait lui répondre. En plus avoir l’avis d’une autre personne ne faisait pas de mal, de savoir a quoi fait penser ces photos pour la personne qui la voie pour lui ce coucher de soleil refléter la chance. La chance d’enterrer le jour passer pour en commencer une autre le lendemain le moment de la journée ou le jour et la nuit se mêle. La deuxième lui rappelait sa grande sœur et comment étant petit ils avaient l’habitude de dormir ensemble et leur chamaillerie.

Il attendait qu’elle lui réponde, il ce demander si elle était toujours là d’ailleurs mais au moment ou il allait se retourner pour vérifier il l’entendit lui répondre.


"_Je les trouve vraiment magnifique. Par exemple, le coucher de soleil, j'aime beaucoup la façon dont les rayons se reflètent et les couleurs orangées...et la photo avec le petit chat sur le dos du chien, je la trouve adorable. Bizarrement, sa me rappelle moi et mon grand frère quand on était petit. Bien qu'on se chamaillait souvent il était toujours là pour m'aider et ..." Dit-elle.

Soudain elle ce tût, Takeo ce tourna vers elle, il la dévisagea et l’observa, peut-être que parlait de son frère e lui plaisait pas il ne savait pas. Peut-être qu’elle avait un mauvais souvenir passer avec son frères, mais le faites que sa lui évoque des choses lui fit plaisir sans savoir pourquoi il eut un mince sourire, peut-être parce que cette photo leur évoquer à tout les deux la même chose. Puis elle poursuivit :


"_Enfin bref, ce que je veux dire, c'est que pour moi sa évoque les fait qu'on a toujours besoin des autres. Désolé, sa doit pas vraiment t'aider ce que je te raconte, ne ? En tout cas, je pense que tu devrais continuer, moi je les trouve super tes photos..." Finit-elle.

Avoir besoin des autres… Qu’est-ce que sa signifiait pour elle, il penser le contraire on n’avait pas besoin des gens pour vivre. Mais le fait était là ce chat avait peut-être besoin de ce chien pour survivre, peut-être que la chaleur de l’un réchauffer l’autre qui sait. Il l’observa encore quelque secondes avant de prendre la photo ou ce trouvait le chien et le chat et lui tendit.

-Selon toi c’est quoi leur histoire, je veux dire c’est quoi leur passer, leur présent et leurs futur ? Comment sont-ils venus à dormir l’un sur l’autre ? Moi je prend des photos pour ça je pense à tout ça puis j’écris leurs histoire, l’histoire de mes photos. Dit-il.

Il lui donna la photo et dit :

-Tiens, je te la donne tu peux la garder. Dit-il d’un ton neutre.

Il ne devait pas ce rapprocher des gens c’était mauvais pour eux et surtout pour lui, mais elle avait l’air d’avoir beaucoup apprécié cette photo en plus elle avait une signification pour elle alors il lui offrit.

Elle n'avait aucune idée de ce que pourrait penser le garçon de sa réponse. Il s'agissait de son point de vue à elle et ses sentiments n'allait pas forcément faire l'unanimité. Il releva sa tête et l'observa quelques secondes. Ayumu se sentait mal à l'aise, elle n'aimait pas se faire dévisager avec des yeux aussi pénétrants. Il saisit la photo et la lui tendit.

"-Selon toi c’est quoi leur histoire, je veux dire c’est quoi leur passer, leur présent et leurs futur ? Comment sont-ils venus à dormir l’un sur l’autre ? Moi je prend des photos pour ça je pense à tout ça puis j’écris leurs histoire, l’histoire de mes photos."

Leur histoire...Elle y réfléchit. Un tas d'idées lui monta à la tête, il y avait des milliers de scénario possible. Cependant, ils étaient tous bien trop abstraits dans sa tête et elle arrivait pas à les distinguer pour en faire des idées bien précise. Lui, il y arrivait. Elle se demanda quelle genre d'histoire il était capable d'écrire. Il avait vraiment l'air d'être le genre de personne qui pense "j'ai besoin de personne" cependant le fait qu'il l'ait aidé l'empêchait de bien cerner ce qu'elle avait vue de sa personnalité.

*J'aimerais bien lire ses histoires mais bon, vu comment je l'ai dérangé en pleine inspiration il risque pas de me les montrer... il me fait penser un peu à un vampire, froid mais gentil... Bizarrement sa me donne envie de le connaître un peu mieux...*

Il lui tendit plus prestement la photo.

"_Tiens, je te la donne tu peux la garder."

Aucun sentiment spécifique ne se distinguait dans sa voix. Néanmoins il lui donnait sa photo, pour la jeune fille ce n'était pas rien. Elle était vraiment très contente. A l'entendre, ses photos étaient vraiment importante pour lui et il lui faisait un honneur en lui en offrant une. Elle sourit et s'inclina

"_Merci beaucoup ! Je vais la garder bien précieusement"

Pour cela, elle désirait ne pas la plier. Alors elle retourna à sa place et s'assit en face du jeune homme. Elle glissa la photo à l'intérieur d'un de ses livres de cours puis reposa son sac au sol. Elle observa le garçon. Elle ne savait pas quoi faire. S'arrêter là et commencer ce qu'elle était venue faire lui paraissait trop étrange après tout ce qui s'était passé. Mais en même temps, il ne paraissait pas très disposer à discuter. Peu importe, elle essaya quand même d'entamer une discussion pour le dérider un peu. Elle cherchait quelque chose à dire lorsqu'elle remarqua qu'elle ne connaissait même pas son prénom...

"_Ano... Au fait, je m'appelle Ayumu Chiba, en 1°A..."

Elle espérait qu'il lui répondrait en se présentant aussi, sa question était implicite mais elle détestait la poser. "C'est quoi ton nom et ta classe ?" ça faisait vraiment trop interrogatoire de police.

-Tiens, je te la donne tu peux la garder. Dit-il d’un ton neutre.

Il ne devait pas ce rapprocher des gens c’était mauvais pour eux et surtout pour lui, mais elle avait l’air d’avoir beaucoup apprécié cette photo en plus elle avait une signification pour elle alors il avait décidé de lui offrir. Il attendit qu’elle réagisse, il se demander si elle allait accepter de le prendre.

Au bout d’un moment elle sourit et tendit la main pour la prendre puis elle s’inclina pour remercier. Et elle dit :


"_Merci beaucoup ! Je vais la garder bien précieusement"


Takeo qui pendant qu’elle était pencher eu un petit sourire qui disparut aussi vite qu’il était apparue.

Elle se redressa et contourna la table, puis elle s’assit en face de lui et rangea la photo dans un de ces livres de classe, cela fit plaisir à Takeo voir qu’elle prenait soin de cette photo prouver qu’elle y tenait. Takeo retourna à l’observation de ces photos, mais sentir le regard de la jeune fille assit en face de lui sur lui le rendait mal à l’aise. Il se demandait ce qu’elle trouvait à l’observer de cette façon il ne la comprenait vraiment pas. Et elle semblait n’avoir rien à faire. De temps en temps, du coin de l’œil il la voyait ce tortillé sur sa chaise. Voulait-elle dire quelque chose ?

Finalement elle commença d’une voix mal assurer.


"_Ano... Au fait, je m'appelle Ayumu Chiba, en 1°A...’’

Ayumu c’est donc comme ça qu’elle s’appeler, c’était jolie comme prénom et elle était en première année soit deux ans plus petite que lui. Elle semblait attendre une réponse, même si elle ne lui avait pas demandé ouvertement cela ce voyait qu’elle voulait savoir qui il était. Devait-il lui répondre ou l’ignoré comme il le faisait si souvent avec les autres.
Mais elle avait était d’une aide précieuse pour lui et lui avait révélé un peu de son histoire même si elle n’avait pas fait exprès.
Il se rendit compte qu’elle attendait toujours sa réponse, il leva les yeux vers elle et hocha la tête comme pour lui dire qu’il avait bien saisi, et il dit :

-Takeo Tsubasa 3°C je suis étonné que tu n’ais pas entendue parler de moi, dit-il.

C’est vrai, Takeo Tsubasa même s’il n’avait pas d’amis était connue pour sa froideur et son arrogance. Les gens le qualifier de fils à papa, il fallait aussi dire que son attitude renforcer cette image.

Le garçon releva vers yeux vers elle. Ayumu attendait toujours sa réponse et se demandait si il allait lui en servir une.

"-Takeo Tsubasa 3°C je suis étonné que tu n’ais pas entendue parler de moi"

Takeo Tsubasa.... à vrai dire, elle avait déjà entendu son nom une ou deux fois dans les couloirs. Cependant, on le disait très froid, arrogant et asocial. Elle comprenait pourquoi, elle avait ressentit la même chose, mais ne voyait pas en quoi il pouvait être arrogant. Il ne lui avait pas mal parlé, du moins pas encore. Il s'était même plutôt trouver assez sympathique. Alors que d'autre l'aurait sûrement envoyer balader après tout ce qu'elle avait fait, lui avait préféré l'aider et même la faire participer à ce qu'il faisait.

*Je me demande bien ce qu'il a pu faire pour avoir une réputation comme ça...mais bon en même temps je le connais depuis pas bien longtemps...*

Il était en 3eme année, il était donc son ainé de deux ans, tout comme Hana-chan. Elle ne savait plus quoi dire, c'était vraiment la panne sèche.

Étant donné que Takeo s'était remis à ses photos, elle estima qu'elle devrait faire de même et le laisser tranquille. Elle sortit de son sac son carnet à dessin puis son critérium et sa gomme noire. Elle les posa en face d'elle et commença à dessiner. Elle n'avait pas d'idées, mais comme toujours dans ces cas là, elle dessinait ce qui lui passait par la tête. C'est ainsi que quelque minutes plus tard, elle se retrouva avec une maman écureuil et son petit assis dans un caddie entrain de faire leur course chez le marchand de noisette, Écureuil-land. C'était vraiment une idée débile mais elle lui arracha tout de même un petit rire.

* Arrête, t'as l'air idiote *

Au point où elle en était, elle n'était plus à sa près, mais elle se calma quand même. Elle arracha la page et la posa en face d'elle.
Il lui fallait une autre idée mais elle bloquait. Elle se sentait mal à l'aise de tout laisser en plan, comme ça. Elle n'avait pas pour habitude de se présenter à quelqu'un avec qui on avait eu une conversation et de commencer autre chose comme si de rien n'était alors que cette personne était toujours en face d'elle. Elle se mit la tête entre les mains et se passa la main dans ses cheveux, pencher sur sa feuille. La jeune fille essayait de faire le vide dans sa tête. Elle détestait vraiment ce genre de situation où l'on a rien à dire alors qu'il y aurait forcément un tas de sujet. En plus, elle n'avait pas améliorer la situation en voulant commencer à dessiner. Maintenant, elle avait contribué à l'installation du silence et n'avait vraiment plus rien à faire étant donné qu'elle était victime de l'effet page blanche. Elle gémit un peu à l'idée d'être coincée dans une situation si inconfortable. Elle releva la tête et fixa Takeo : il n'avait pas l'air d'autant se prendre la tête, mais peut-être seulement ne montrait-il pas ses sentiments.

Ayumu ne savait vraiment plus quoi faire. Elle détestait vraiment bloquer sur ce genre de chose, elle se sentait vraiment cruche. Elle releva la tête vers Takeo et eut à peine le temps de le voir baisser la sienne.

*Il était entrain de m'observer là !? *

La jeune fille se sentit décontenancée mais en même temps soulagée : cela prouvait qu'il ne l'ignorait pas totalement.

Soudain, le garçon releva sa tête.

"-C’est sympa comme dessin et c’est jolie aussi, tu as un bon coup de crayon à mon avis."

"_Eh !?"

C'était la première fois que quelqu'un la complimentait sur un de ses dessins. Elle observa sa table et remarqua que son dessin avec les petits écureuils était en évidence. Pour elle, ce n'était qu'un gribouillis créer faute d'idée mais elle était tout de même heureuse d'être complimentée, surtout par quelqu'un qui semblait être doué en art. Personne ne l'avait jamais vraiment encouragée depuis qu'elle s'y était mise sérieusement. Il faut dire qu'elle ne montrait jamais ses dessins à quiconque depuis ce jour.

Flash back

Ayumu, alors à peine âgée de 6 ans ne savait pas quoi faire. Son père était absent et son frère jouait dehors avec ses amis. S'ennuyant fermement, elle avait décidé de faire un dessin pour sa mère avec des feutres, comme le font les enfants pour faire plaisir à leur parents. Cela lui prit tout l'après midi, elle s'était vraiment appliquer. Lorsqu'elle le finit, elle descendit immédiatement le montrer à sa mère, alors plongée dans la lecture d'un synopsis.

"_Kaa-san ! regarde je t'ai fait un dessin !
"_Quoi encore ? Tu ne vois pas que tu me déranges !? Qu'est-ce que c'est que ça ? Nan mais regarde toi tu t'es mise du feutre partout mais c'est pas possible d'avoir une enfant pareil ! Donne moi ça (elle lui prit sa feuille des mains) Et pour ça en plus ? Tu perds vraiment ton temps avec des choses futiles, t'as pas des devoirs a faire plutôt ?"

A ces mots, elle froissa son dessin et le jeta dans la poubelle avant de se replonger sans sa lecture.

Fin du flash back

C'est pourquoi la jeune fille refusait de montrer ce qu'elle faisait. Elle avait toujours peur de déranger. Mais à cause de cela, elle ne savait pas ce qu'elle valait vraiment. Elle était donc très heureuse de ce que venait de lui dire Takeo, d'autant plus qu'il lui semblait vraiment sincère.

"_Ano, merci. Mais c'est pas grand chose, en fait j'ai aucune idée de quoi dessiner. Mais ça me fait plaisir. Pas de pas savoir quoi faire hein, ce que tu m'as dit. (elle réfléchit quelque seconde). Ne, est-ce que je peux essayer de te dessiner ?"

La jeune fille ne s'était jamais essayé au portrait, mais tant qu'à faire, elle préférait essayer avec Takeo comme modèle. Il lui dirait sincèrement ce qu'il en pense.

"-C’est sympa comme dessin et c’est jolie aussi, tu as un bon coup de crayon à mon avis." Dit Takeo.

Il remarqua que la jeune fille le regardait elle s’exclama surprise.

« Eh !? »

Elle avait l’air vraiment surprise, elle observa la table et remarqua l’image qu’il avait complimentée, elle ne dit rien de plus semblant se perdre dans ces pensées. Takeo ne dit rien il n’attendait pas vraiment de réponse de la part de la jeune fille, il avait juste dit ce qu’il penser du travail d’Ayumu après peut-être qu’il avait tord ou peut-être pas mais il avait juste dit ce qu’il penser.
D’un seul coup elle lui adressa la parole,

"_Ano, merci. Mais ce n’est pas grand chose, en fait j'ai aucune idée de quoi dessiner. Mais ça me fait plaisir. Pas de pas savoir quoi faire hein, ce que tu m'as dit. (Elle réfléchit quelque seconde). Ne, est-ce que je peux essayer de te dessiner ?" Dit-elle.

Takeo surpris la regarda, au début sans comprendre, oui l’information ayant fait son chemin jusqu’à son cerveau il ouvrit grand les yeux en bégayant.

« Me, Me dé, dessiné ? »

Pourquoi soudainement une telle requête, il ne comprenait pas. Que pouvait-il bien dire, et pourquoi vouloir le dessiné d’abord ? Cette fille avait semblait vraiment apprécier ses compliments mais de la à lui demander une chose pareil.
Au fond ce n’était pas grand-chose mais quand même, pour lui qui n’avait plus l’habitude des gens c’était vraiment grand-chose. Il avait juste à dire oui ou non mais il voyait bien que ce n’était pas seulement sa qui le préoccupé. Il observa encore une fois la jeune fille qui attendait sa réponse, il n’aimait pas la tournure que prenait les choses mais ne voulait non plus pas la blesser pour autant.

"Ano, je, j’aimerais vraiment mais la je n’ai plus le temps les cours vont commencer dans quelques minutes et puis tu m’a pas l’air en grande forme. Alors sûrement une prochaine c’est promis ne là je pourrais te servir de modèle de toute façon je suis souvent ici donc ça ne sera pas difficile de me trouver." Dit-il en rassemblant ses affaires précipitamment et en se levant s’apprêtant à partir.

C’est vrai les cours aller bientôt commencer, mais maintenant il se trouver lié par une promesse à cette jeune fille. Allait-il la tenir seul l’avenir le sait se dit Takeo en se dirigent vers la porte pour rejoindre sa classe.